Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . libertés aristocrati([ues à laliberté démocratique et flmiis doriioninir,et ils voyaient lAngleterre constitution-nelle se mettre à la tète des despi»tes li-gués contre la France. Fox tenta dans l;i Chambre des communesun dernier effort pour arrêter cette gueiTo« d(clarée » par la France, mais « provo-quée, » selon iTon opinion, par le ministèreanglais. « Vous faites la guerre, sécria-t-il,sous prétexte (jne la jrance envaliit desEtats neutres, et vous laissez, sans pn^tes-ter, envahir la Pologne. » Linvasi
Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . libertés aristocrati([ues à laliberté démocratique et flmiis doriioninir,et ils voyaient lAngleterre constitution-nelle se mettre à la tète des despi»tes li-gués contre la France. Fox tenta dans l;i Chambre des communesun dernier effort pour arrêter cette gueiTo« d(clarée » par la France, mais « provo-quée, » selon iTon opinion, par le ministèreanglais. « Vous faites la guerre, sécria-t-il,sous prétexte (jne la jrance envaliit desEtats neutres, et vous laissez, sans pn^tes-ter, envahir la Pologne. » Linvasion ipii devait aboutir au secondpartait de la Pologne sopérait altMs, en 52 m^r(MUE Dfi FRANCE ollbt, avec lis ciiconslancos les plus odieu-ses, surttHit di la pari île la Prusse. PU lit plus (|ue (le lU pas proleistcr coii-Irti le seciuul partaiit^ «U; la Pologne. Il con-clut avec Catlicriiie 11 uu traite par leipiella Russie et lAniJileterre scu^aifeaieut nou-seulenieut à ronipr» tous rapports coniUKU-ei;m\ avec la l-r-me(>^ mais à les iuttudiri^. liicLe. aux États neutres ; cest-à-dire à violer par-tout le droit des ^ens, et à ne permettrenulle part la neutralité. La Russie abandon-nait par là les principes quelle avait procla-més sur le droit des neutres, et autorisaitla tyrannie de lAngleten-e sur les ^leterre, en compensation, livrait laPolog-ne. La ^uerre entre la France et rAnj,-leterreétait, au reste, devenue inévitablc, parlarésolution du ministère anglais de ne passouiïrir roccui)ation française en Belgique,LAutriche et la Prusse ne voulaient pointde paix avec la France : la Russie les pous-sait à outrance contre nous, alin de les lier à sa p(iliti(pie en Pologne. La Iiance, «-oie, ne voiilail ni ne jtouvait (vacuerla ; ni les piovinces rluMianes, IWn-gleterie ne pouvant lui garantit la paix. .Viiisi recomuHUça c(;tte grande lutte desdeux nations Irançaise et anglaise, (juiallait redevenir auss
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