. Bulletin de la Société royale de botanique de Belgique. Société royale de botanique de Belgique; Botany. ( 20o ) M. Frics a donné ce nom à une autre espèce des Pyrénées, nous cro3'ons que le nomdeLapeyrouse doit être maintenu et que 1'//. coinposituni, dont les pédoncules et les calathides portent souvent trois sortes de poils, varie sous ce rapport et peut tromper quand les poils simples, les glandu- leux, ou bien les tomenteux font défaut. Hierariiimiuosniiiini Crépin. â Cette plante doit, d'après M. Pries, se rapporter au //. hi/idum Koch seu H. rupkolum Pries. Hicrnciuni cri
. Bulletin de la Société royale de botanique de Belgique. Société royale de botanique de Belgique; Botany. ( 20o ) M. Frics a donné ce nom à une autre espèce des Pyrénées, nous cro3'ons que le nomdeLapeyrouse doit être maintenu et que 1'//. coinposituni, dont les pédoncules et les calathides portent souvent trois sortes de poils, varie sous ce rapport et peut tromper quand les poils simples, les glandu- leux, ou bien les tomenteux font défaut. Hierariiimiuosniiiini Crépin. â Cette plante doit, d'après M. Pries, se rapporter au //. hi/idum Koch seu H. rupkolum Pries. Hicrnciuni criiiitiini Sibth. (d'Etrurie). â La plante connue sous ce nom en Etrurie est bien le H. crinituin des botanistes italiens, mais le vrai H. crinitum de Sibthorp est bien différent. La plante que nous a adressée M. Caruel est, pensons-nous, VH. italicum Pries Epicrisis, 107. D'après le savant auteur du Prodrome de la Flore de Toscane^ VH. crinitum d'Italie diffère de celui de Grèce en ce qu'il est moins chargé de poils. Vuilà du moins toute la différence qu'on y trouve, et c'est pourquoi quelques-uns le considèrent comme une variété. Pour ceux qui y voient une espèce, c'est VH. Virga-mirca Coss. M. Caruel ne connaît pas VH. italicum Pries. Chlora serotliia Kocli. â Dans notre dernière note, nous émettions des doutes sur la légitimité spécifique des C. serotina et imperfoliata. Voici ce que 5L Grenier nous écrit à ce sujet : Ces deux plantes sont sans doute très-voisines, mais elles sont spécifiquement distinctes. Ainsi le C. seiotina a des feuilles plus larges, soudées à la base, et la ligne de soudure, plxis longue, est arquée en dessous et rarement presque rectiligne, tandis que le C. imperfoliata a les feuilles plus étroites, arrondies et libres à la base ou faiblement soudées avec ligne de soudure ascendante; de plus le calice du C. imperfoliata a les divisions soudées
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