Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . t » I adj. Qui a un penchant désordonné pour les plai-sirs charnels : Un homme. Une femme lubrique, u Qui estinspiré par la lubricité : Des regards lubriques. LUBRIQUEMENT [ke) adv. D une manière lubrique. ^^d Allemagne (Mecklembourg-Sch-we-rin [distr. df* Schwerinl), près de la Sude, tributaire de laRœguilz, affluent de lElbe. Carrière de plâtre; hab. LUBZ, ville dAllemagne ( Mecklembourg-Schwerin,[distr. de Giistrow), sur iEldo, affluent de lElbe; Luc, comm. do lAveyron, arrond. et à 9 kilom. de
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . t » I adj. Qui a un penchant désordonné pour les plai-sirs charnels : Un homme. Une femme lubrique, u Qui estinspiré par la lubricité : Des regards lubriques. LUBRIQUEMENT [ke) adv. D une manière lubrique. ^^d Allemagne (Mecklembourg-Sch-we-rin [distr. df* Schwerinl), près de la Sude, tributaire de laRœguilz, affluent de lElbe. Carrière de plâtre; hab. LUBZ, ville dAllemagne ( Mecklembourg-Schwerin,[distr. de Giistrow), sur iEldo, affluent de lElbe; Luc, comm. do lAveyron, arrond. et à 9 kilom. deRodez, sur un plateau du Rouergue; hab. Luc, comm. de la Lozère, arrond. et à 34 kilom. deMende, au confluent du Masméjean et de lAltier; de f. Château ruiné, en partie du xii* siècle. Luc (Lk. [lat. Forum Voconii ou Lucus Vocontius], cant. du Var. arrond. et à 38 kilom. de Dragnignan,sur le Riotord; liab. Ch. de f. Mines deplomb, fabriques de bouchons, filature. Commerce de mar- LUBLAU LUCARNE. D après\ rons, huile, vins. Ville très ancienno, cité romaine; cé-lèbre abbaye au moyen âge ; priso par les Arabes ot déli-vrée deux en 974. Ruines dune ancienno église du xia s.— Lo canton a 4 comm. et hab. Luc, comm. du Calvados, arrond. et à 15 kilom. de Caen,sur la Manche; hab. Ch. de f. do Caen à la mer, otch. do f. du Calvados, lîains do mer. Laboratoire zoolo-gique do luniversité do Caen. DontoUos. Eglise avoc tourdu xu siècle. Luc (saint), évangéliste, né A Antiocho, mort vers 70apr. Il exerçait la profession do médecin ot fut locompagnon des voyages et dos travaux de saint Pauljusquà la mort de cetapôtre. Cest vers lan .^3 que. selonlopinion la plus répandue, il écrivit son Evangile; lacomposition des Actes des Apôtres, dont la critique tra-ditionnelle le proclame aussi lautour, paraît remonter àlan 59. Saint Luc parle un grec plus pur que celui desautres évang
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