. Dans le Haute-Gambie; voyage d'exploration scientifique, 1891-1892. Gambia; Geology; Botany. DANS LA HAITK-OAMBIK 967 NiiM'uloKoliii et la rivicrt* Hnlt^ (|ui arrosnit Hes ré};ioiiii sud rst (>t uord fMt. Il n'y a i|U(* fort peu de mari|;iilH qui hc jettent dirccti* UM'Ut dan> la (îaintiie et «'ururi* >ont-ils de iiiai;.'rc iniportaiice. l'r. 8 SI' rrndt'tit soit à la rivière lialc, sres. Beaucoup de ces mari;;ot8 coininunii]ut'nt entre eux ou bien même cummuni(]uent avec le NieriKû ou avec des mari ^ots (|ui appartiennent an bassin de eu dernier. La Gambie sert de limite sud
. Dans le Haute-Gambie; voyage d'exploration scientifique, 1891-1892. Gambia; Geology; Botany. DANS LA HAITK-OAMBIK 967 NiiM'uloKoliii et la rivicrt* Hnlt^ (|ui arrosnit Hes ré};ioiiii sud rst (>t uord fMt. Il n'y a i|U(* fort peu de mari|;iilH qui hc jettent dirccti* UM'Ut dan> la (îaintiie et «'ururi* >ont-ils de iiiai;.'rc iniportaiice. l'r. 8 SI' rrndt'tit soit à la rivière lialc, sres. Beaucoup de ces mari;;ot8 coininunii]ut'nt entre eux ou bien même cummuni(]uent avec le NieriKû ou avec des mari ^ots (|ui appartiennent an bassin de eu dernier. La Gambie sert de limite sud au Tend i pendant euvin)n cin- ((uante-cinq kilomètre de son cours, t\u continent du Ni(N-olo Koba à la nuii»sance du mari^ut de llialakoto qui se|)are le Tenda du Ouli. Otte partie île son cjinrs u'a encore été l'objet d'aucune élude sérieuse. Je doute mi^ne qu'elle ait jamais été parcourue par un explorateur (|uelconqne. On ne s'est i;uère jusqu'à ce jour avancé plus loin i|ne le barrage de Kokouko-Talolo, ou l'ernboucbure de la rivière (irey. (îolberry re<N»nuul, en elTet. le counuent «le cette dernière avec la (lanibie, mais il n'a (tas (ail, de son cours entre ces deux points une elno|)Otames cpie nous l'avons appris. Sa largeur moyenne serait au moment des plus basses eaux de trois à quatre cents mètres au maximum. Pendant la saison des pluies elle doublerait et triplerait même en cerUiios endroits. Kn toutes saisons, sou courant est excessivement rapide. Son impétuosité au^'mente considérable- ment au «ominencemeul de la belle saison, alors que, rentrée son lit. la (iambie reçoit les eaux des allluenls et des marigots qui l'alimentent. Mais à la lin de la saisou sèche on ne trouve plus guère de courant que là où le lîeuve trouve un obstacle à son cours, un petit barrage à franchir. â Elle coule entre deux rives à pic et le niveau de sa masse d'eau, du jour o
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