Le Kantisme et ses erreurs . « nous tf en savons rien ; nous ne connaissons«que les phénomènes, cest-à-dire les repré-.^csentatlons quelles opèrent en nous enaffec- ;,-3. — Prenons donc cette dernière assertionJJ%^ -pour point jde départ. Bon ^é malgré^ il ne ?^^f -peutsern pêcher davouer que «les choses en :^-^^.^41 soi nous affectent, quelles produisent nos re- :l::lù ^«présentations, donnent le branle à notre acti- -^ «.vite mentale. 3> Et cesLnatJIPL^ ^i^._: -. -i^:- resu1tâ!^«!%T^«mfdjtîw0|É^i^ Le moi ; individuel même est, daprès Kant, aussi bien -que tout objet externe, une chose
Le Kantisme et ses erreurs . « nous tf en savons rien ; nous ne connaissons«que les phénomènes, cest-à-dire les repré-.^csentatlons quelles opèrent en nous enaffec- ;,-3. — Prenons donc cette dernière assertionJJ%^ -pour point jde départ. Bon ^é malgré^ il ne ?^^f -peutsern pêcher davouer que «les choses en :^-^^.^41 soi nous affectent, quelles produisent nos re- :l::lù ^«présentations, donnent le branle à notre acti- -^ «.vite mentale. 3> Et cesLnatJIPL^ ^i^._: -. -i^:- resu1tâ!^«!%T^«mfdjtîw0|É^i^ Le moi ; individuel même est, daprès Kant, aussi bien -que tout objet externe, une chose en <Si donc on parle dun état dont la sensibilité ;.,.; -i^pi>isa7*^ ?^aié.^^.-^^~,: rV-^.rT^ii^ CH. XIII. — J-A CHOSE EN -SOI -295 Et ainsi nous tenons une cause transcendantecest-à-dire située en Retors du monde, desphénomènes. Ce serait^ donc le principe decausalité qui, en conséquence de létat dontnous sommes affectés àM detiors, nous faitfranchir les limites du sujet immanent et en-trer dans la sphère de îa:;ira?wcen(Za»w;e, et quidonne à cette croyance instinctive à lexistencedun monde extérieur,- telle quelle est impli-quée dans la vie pratiqu
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