Histoire de la chimie . ©es qui sen élevaient : lorsque la quantité dair produit ou absorbé était fortgrande, je me servais dun gros ballon, au lieu du verre ay; mais lorsque cettequantité était fort petite, alors, au lieu du matras et du verre cylindrique a^, jeme servais dune fiole et dun verre à bière par dessus, ayant soin dempêcherleau, dans tous les cas, de tomber sur les matières ; ce qui métait aisé de pré-venir en tirant leau sous le verre renversé ay, à telle hauteur quil me plaisait,par le moyen dun siphon. « Je mesurais les volumes que contenaient les espaces zy et zn
Histoire de la chimie . ©es qui sen élevaient : lorsque la quantité dair produit ou absorbé était fortgrande, je me servais dun gros ballon, au lieu du verre ay; mais lorsque cettequantité était fort petite, alors, au lieu du matras et du verre cylindrique a^, jeme servais dune fiole et dun verre à bière par dessus, ayant soin dempêcherleau, dans tous les cas, de tomber sur les matières ; ce qui métait aisé de pré-venir en tirant leau sous le verre renversé ay, à telle hauteur quil me plaisait,par le moyen dun siphon. « Je mesurais les volumes que contenaient les espaces zy et zn, en versantcomme dans lexpérience précédente, dans le verre ay, une certaine quantitédeau, et faisant une tare pour le volume du cou du matras compris au-dedansdes espaces zy ou zn. « Lorsque je voulais connaître la quantité dair absorbé ou produit par unechandelle allumée, par du soufre ou du nitre brûlant, ou bien par la respirationdun animal vivant, je plaçais dabord dans le vaisseau xx (fig. 5) une es-. CRÃATION DE CHIMIE PNEUMATIQlE 1 1 pcco de petit guéridon ou piédestal, qui sélevait un peu plus haut que zz. Sur ce piédestal je mettais la chan-delle uu lanimal vivant, et ensuiteje couvrais le tout dun irrandverre renversé zzaa qui était sus-pendue par une corde ; de soiteque son orifice rr était à 3 ou 4pouces sous leau ; je tirais ensuiteavec un siphon, lair hors du vais-seau de verre :;j;aa, jusquà ce queleau montât en zz. Quand je no-sais sucer avec ma houche par lesiphon, comme lorsquil y avaitdes matières nuisibles, telles quele soufre brûlant, leau-forte, etc.,sous le verre, je me servais, pourtirer lair, dun grand soufflet,dont je fixais au siphon le tuyau,après en avoir exactement bouché
Size: 1133px × 2207px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No
Keywords: ., bookauthor, bookcentury1800, bookdecade1890, booksubjectchemistry