Le masque ; L'enfant de l'amour . fut L.» porte souvre. Rantz entre. On cri* : « Il «ai t II habit ! » SrfNF IX Lks Màuaa. RANTZ nvNTr — Noo! en «nuiking* .. Que de ; Iamat4« »^ 62 LEnfant de lAmour GABT. — Il est en habit!DÉDÉ. — Eh bien?LORÉDAN. — Homme du jour?...DÉDÉ. ?— Ça. y est-il h^ [ GABY. — Faut-il, faut-il pas?LIANE. — Est-ce \-rai, Paul?RÂNTZ. — On sait déjà ici?... Je re-grette quun journal du soir ait divul-gué!.... Exclamations de tous. LORÉDAN. — Hein ! Qui avait raison ? LIANE. — Alors, cest vrai, Paul! Non,ce n-est pas Tu RANTZ. — Je ne puis r


Le masque ; L'enfant de l'amour . fut L.» porte souvre. Rantz entre. On cri* : « Il «ai t II habit ! » SrfNF IX Lks Màuaa. RANTZ nvNTr — Noo! en «nuiking* .. Que de ; Iamat4« »^ 62 LEnfant de lAmour GABT. — Il est en habit!DÉDÉ. — Eh bien?LORÉDAN. — Homme du jour?...DÉDÉ. ?— Ça. y est-il h^ [ GABY. — Faut-il, faut-il pas?LIANE. — Est-ce \-rai, Paul?RÂNTZ. — On sait déjà ici?... Je re-grette quun journal du soir ait divul-gué!.... Exclamations de tous. LORÉDAN. — Hein ! Qui avait raison ? LIANE. — Alors, cest vrai, Paul! Non,ce n-est pas Tu RANTZ. — Je ne puis rien dire encore!... ré Bonjour. Il serre les mains. On le félicite. On crie des« bravos ». LIANE, émue. — Tu acceptes, tu vas ac-cepter ? RANTZ, évasif et spirituel. — Ré Bonsoir, LIANE. — Je parle sérieuseme<nt, , japprends une pareille chose à laseconde, ça me sort sous les pieds comme. lllHHIillillllliWIll—II» liiillll Mllll I EANTZ. — Non ! en smoking ï... une bombe et il paraît que tout Paris estau courant, ça se dit chez les couturiers, çasécrivait dans les journaux et, r::oi, moi, jesuis là, comme une gourde, à ignorer cedont tout le monde parle!... ^ RANTZ. — Dabord, rien nest fait. Jedois donner demain ma réponse au prési- dent du Je vais réflé Etpuis, tu texagères limportance!... LIANE. — Tu ne pouvais pas me télépho-ner de la Chambre, en en sortant ? — Jen suis sorti à sept heures-et demie. Bonjour, Le tempe de melaver un peu les mains et , tout ce monde pour une loge?... Jecroyais te trouver seule!... LORÉDAN. — Deux autos , LIANE, sons écovter. — Cest trop fort!...Il est vrai que je ne compte pour rien danston existence ! Je ne .suis pas même une ca-marade, tu as peut^tre oublié que jétaista maî RANTZ. — Allons, du calm


Size: 1414px × 1767px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1900, bookidlemasquelenf, bookyear1900