. Eléments d'archéologie chrétienne . t-à-dire de deux arcs-bou-tants placés lun au-dessus delautre (chœur de Sainte-Gu-dule, à Bruxelles (fig. 2), etéglise de labbaye de Villers).Dans les édifices à arcs-bou-tants doubles la résultante dela poussée des voûtes passe. , , , .,,,,,,. entre les tètes des deux arcs, Arc-boutant et contre-fort a leglise . de Notre-Dame-aux-Dominicains, rendus solidaires tantôt parà Louvain (xiiie siècle). Tépaisseur et la solidité du mur même quils viennent contre-butter (chœur de Sainte-Gudule, à Bruxelles), tantôt par des colonnettes et desarcatiires réunissant,


. Eléments d'archéologie chrétienne . t-à-dire de deux arcs-bou-tants placés lun au-dessus delautre (chœur de Sainte-Gu-dule, à Bruxelles (fig. 2), etéglise de labbaye de Villers).Dans les édifices à arcs-bou-tants doubles la résultante dela poussée des voûtes passe. , , , .,,,,,,. entre les tètes des deux arcs, Arc-boutant et contre-fort a leglise . de Notre-Dame-aux-Dominicains, rendus solidaires tantôt parà Louvain (xiiie siècle). Tépaisseur et la solidité du mur même quils viennent contre-butter (chœur de Sainte-Gudule, à Bruxelles), tantôt par des colonnettes et desarcatiires réunissant, de distance en distance, larc inférieurà larc supérieur, à peu près comme les quatre-feuilles réu-nissent les deux étais dans larc-boutant de Furnes quenous avons donné ci-dessus fig. 3. Les monuments à arcs-boutants doubles reliés par des séries darcatures sont assezrares; il nen existe pas en Belgique; les plus beaux arcs-boutants de ce genre sont, sans contredit, ceux de la cathé-drale de Chartres,. — 190 — Les arcs-boutants ont été employés pendant toute la pé-riode ogivale; cependant ils deviennent plus rares pendantla dernière moitié du xv^ siècle. Dans beaucoup de monu-ments de cette époque, même de premier ordre, on sestcontenté de contre-forts très massifs et très saillants pouramortir la poussée des voûtes (églises de Saint-Bavon et deSaint-Michel, à Gand, de Saint-Martin et de Saint-Jacques,à Liège, de Notre-Dame du Sablon, à Bruxelles, de Sainte-Waudru, à Herenthals, de Saint-Paul, à Anvers). Lorsque, au commencement du xiii® siècle, les bases descombles furent munis de chéneaux destinés à recueillir leseaux pluviales (voyez ci-dessus, II, p. 170), on dirigea leseaux du toit principal vers les contre-forts extérieurs àlaide dun canal établi sur le chaperon de eaux passaient à travers la tête des contre-forts etétaient ensuite rejetées par des gargouilles en dehors dupérimètre


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