. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . en outre,javais eu quatre canots que mavait prêtés le sova de Liouica. La traversée se termina sans le moindre accident et, aumilieu du jour suivant, je me remis en marche vers Test enmavançant dans le pays des Quimbandès. Après avoirpassé en vue des villages de Mouzéo et de Caïaïo, je campaià près de deux heures de distance du village deMavanda, voisin de la source du ruisseau Moutango, quicoule au vers le Couanza. Les villages de ces districtsétaient beaucoup moins f
. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . en outre,javais eu quatre canots que mavait prêtés le sova de Liouica. La traversée se termina sans le moindre accident et, aumilieu du jour suivant, je me remis en marche vers Test enmavançant dans le pays des Quimbandès. Après avoirpassé en vue des villages de Mouzéo et de Caïaïo, je campaià près de deux heures de distance du village deMavanda, voisin de la source du ruisseau Moutango, quicoule au vers le Couanza. Les villages de ces districtsétaient beaucoup moins fortifiés que ceux de Fautre bord dufleuve. Les Quimbandès forment une confédération de petitsÉtats distincts, mais qui ne manquent pas de sallier ensembleau cas de danger commun. Les nombreuses bourgades àTentour de mon camp reconnaissaient la souveraineté dusova Mavanda, vassal lui-même du sova du Couïo ou Mou-couzo, dont la résidence est située au bord du Couanza,plus au nord. Ce qui attira dabord mes regards en arrivantchez les Quimbandès. ce fut la coiffure des femmes, la plus. «iiiliiliiiliiiilii^ PARMI LES GANGUELAS. 277 extraordinaire que jie jamais rencontrée. Les unes arran-gent leur chevelure de telle façon que, lorsquelle a reçu sesornements de caouris, In coiffure a toute Tapparence dunchapeau dune femme dEurope, Dautres la frisent, la tor-tillent et la roulent, de manière à la faire ressembler à uncasque romain. Les caouris sont dépensés avec profusion pour orner lestêtes de femmes; on y emploie aussi les verroteries blanchesou rouges, mais bien moins que parmi les populations situéesà louest du Couanza. Dans ces prodigieuses coiffures, les cheveux sont fixés
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