Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . ue ça dure Alors, il a voulu jouerEt il a été pris dans lengrenage. Etcest fini, Jeanne haussa les épaules. Elle savaitquon sen tirait, des °nages. La mainun peu écrabouillée, quelquefois. Mais,au bout dun mois, il ny paraissait ! cette Madeleine, avec ses dé avait toujours pensé que ça fi-nirait mal. Mais de là à se dé de même inquiète, elle dem-iru,, : — où est Gaston? Tu ne lelaisses pas seul? — Non. Il est là, dans son et son mari sont avec lui. Cestla première visite de Charles depuis
Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . ue ça dure Alors, il a voulu jouerEt il a été pris dans lengrenage. Etcest fini, Jeanne haussa les épaules. Elle savaitquon sen tirait, des °nages. La mainun peu écrabouillée, quelquefois. Mais,au bout dun mois, il ny paraissait ! cette Madeleine, avec ses dé avait toujours pensé que ça fi-nirait mal. Mais de là à se dé de même inquiète, elle dem-iru,, : — où est Gaston? Tu ne lelaisses pas seul? — Non. Il est là, dans son et son mari sont avec lui. Cestla première visite de Charles depuis samaladie. Gaston achevait de tout meraconter quand ils sont arrivé Ils tom-baient bien ! — Ils savent? — Oui. Oh! dans le premier moment,je me se is confiée à mon chauffeur,moi, tellement jfavais besoin daide et desecours. Je me suis accrochée à eux. Etpuis, cest la famille, en somme. Jeanne dit, sans ardeur: — Evidemment. Puis, prenant drun geste tendre lesmains de Madeleine dans les siennes:. — CE MEST PAS POSSIBLE QUE VOUS NE PUISSIEZ PAS SORTIR DE CE PETRIN-LA ! M l/,7 iOE DE DE U l/.V — Mais toi. < oramenl ai fa aj Le i)ln i • implemenl du monde [ , te re oindi ? mon < - H: i «-lui de emaine dei i un p quel et une grande queue qui retomb<quand lui qui ne quitte jamai 11 raffinerie avant six li u !<? demandé i e qui le pa ail ril n\ souffrant. 11 .< été pri ourt II ne lattendait pas à u i ivei là. je suis toujours dehoi Et alors init- ier son air Correct, son air de me dit, le ton seulement un peu triste: « Ma petite Mado, nous sommes flam-bés 1 t Et il ma expliqué comment, sansplus sémouvoir. Ahl il est beau , je voudrais, moi. quTil soit plusviolent, quil me reproche de lavoir en-traîné, quil me crie ma faute, quil metraite de poupée, de folle, quil me , quil me batteI Ah! tiens, ça mesoulagerait, ça me rassurerait. Tandisque, sous cette froideur
Size: 1305px × 1916px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No
Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1910, bookidmariagededem, bookyear1910