. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . t tenue fubie&e par vn aurre doierf, qui en re- 1 met vne autre portion , & fumant tel ordre facilement feront remis dedans. Cela faict (ayant mis la main eftendue fur la playe, à fin que les boyaux nereffor-tent ) il faut vn peu branler Se fecoûer le corps du malade : cela fert pour remettre Searrenger chacun boyau en fon lieu naturel, comme ils eftoyent auparauant que dé-lire fortis. Si
. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . t tenue fubie&e par vn aurre doierf, qui en re- 1 met vne autre portion , & fumant tel ordre facilement feront remis dedans. Cela faict (ayant mis la main eftendue fur la playe, à fin que les boyaux nereffor-tent ) il faut vn peu branler Se fecoûer le corps du malade : cela fert pour remettre Searrenger chacun boyau en fon lieu naturel, comme ils eftoyent auparauant que dé-lire fortis. Si la Coiffe &Epiploon fort par la playe, eftant faine Se fans vice, il la faur re- Comme ilmettre &eftendre doucement furies fi quelque partie eft deuenueli- fout remit-uideounoire,on la lie au deffusdeecqui eftnoircy,pourdoubteduflux l>EPi~.on couppe ce qui eft au deffous du fil, Se foudain on remet ce qui eft fain Se entier de ? ! Arladi&e Coirîe,laifTant pendre le bour dudid fil,afin quon le recire facilemenr,quand r * * 4le fil fefeparera&: tombera,la playe eftant venue àfuppuration. De la coupure du ventre, diéle Gaflrorapbie,Chapitre E s boyaux Se Coiffe reftituez en leur place , il faut recou-dre laplaye : Mais daurant que telle Coufture, félon aucuns, nefe doit faire comme es autres parties , ceft à fçauoir en ioignanccelles qui font demefme nature les vnes auec les autresj com- L4 Counlirtme le Péritoine auec le Péritoine, &ainfide la peau &: mufcles: /r^a. i ■ • 1 1 t> ■ • -1 ne Je jaitt ains prétendent îoindre le Péritoine, qui eit vne membrane,commeesauec lés mufcles, Se peau de lEpigaftrc: car iceluy eftant ner- Mttres , malaifément fe reprend auec fon oppofite, qui eft dettes. mefme fubftance,, Ils font en forte, quils ioignent lé Péritoine, qui eft en la dextreleure de la playe j auec les mufcles quifontenlaleurefeneftrc, &:par mefme moyenioignent la chair mufculeufe de la leure dextre au Pé
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