. Bulletin du MuseÌum d'histoire naturelle. Natural history. Fig. 82. ^â Chelidonopsis arietina de Rochebrune. Coquille vue en dessus pour montrer la disposition des carènes. 2/3 de la grandeur naturelle. |3. Le ligament postérieur est plus développé et, toutes proportions gardées, plus puissant. y. La région antérieure, tout en présentant le même mode d'articula- lion, n'a plus les deux petites carènes divergentes que l'on observe, chez le Chelidonopsis arietina, au voisinage du bord supé Fig. 33. â Chelidonopsis Roubaudi Germain. Co(piille vue en dessus pour montrer la disp
. Bulletin du MuseÌum d'histoire naturelle. Natural history. Fig. 82. ^â Chelidonopsis arietina de Rochebrune. Coquille vue en dessus pour montrer la disposition des carènes. 2/3 de la grandeur naturelle. |3. Le ligament postérieur est plus développé et, toutes proportions gardées, plus puissant. y. La région antérieure, tout en présentant le même mode d'articula- lion, n'a plus les deux petites carènes divergentes que l'on observe, chez le Chelidonopsis arietina, au voisinage du bord supé Fig. 33. â Chelidonopsis Roubaudi Germain. Co(piille vue en dessus pour montrer la disposition des carènes. Légèrement réduit. §. Chez le Chelidonopsis arietina, la région postérieure présente deux ca- rènes tubulaires très saillantes, disposées comme l'indique la figure Sa et qui, s'écartant à leur extrémité, constituent deux sortes d'ailes. Les carac- tères du Chelidonopsis Roubaudi sont bien différents : les cai'ènes ne sont. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original MuseÌum national d'histoire naturelle (Paris). Paris : Impr. nationale
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