Merveilles de la nature : l'homme et les animaux, description populaire des races humaines et des règne animal . on-gent et disparaiissent avec une extiême rapi-dité. Elles nagent avec une vitesse telle, quel-les semblent réellement voler. Dans les pointsoù on les rencontre habituellement, on envoit parfois de véritables troupeaux, car ellessemblent ôtre généralement très sociables. Ces animaux sont doux et très timides.« Plus prudente que courageuse, la Tortue demer se défend rarement; mais elle cherche àse mettre à labri ; et elle emploie toute saforce à se cramponner, lorsque, ne pouvantbri
Merveilles de la nature : l'homme et les animaux, description populaire des races humaines et des règne animal . on-gent et disparaiissent avec une extiême rapi-dité. Elles nagent avec une vitesse telle, quel-les semblent réellement voler. Dans les pointsoù on les rencontre habituellement, on envoit parfois de véritables troupeaux, car ellessemblent ôtre généralement très sociables. Ces animaux sont doux et très timides.« Plus prudente que courageuse, la Tortue demer se défend rarement; mais elle cherche àse mettre à labri ; et elle emploie toute saforce à se cramponner, lorsque, ne pouvantbriser sa carapace, on cherche à lenlever aveccelle La Tortue de terre a, detous les temps, passé pour le symbole de la I (*) Nu, imchale, M, marginales; /î, côtes; 1-8, plaquesneuralcs; Cl, C8, plaqiiuK costales; ly, plaque pygale(daprès Huxley). Bheum. — V. lenteur; les Tortues de mer devraient êtreregardées comme lemblème de la qualité qui, dans les animaux, est le fruitde dangers quils ont courus, ne doit pasétonner dans ces Tortues, que lon recherche. Fig. 120. — OEsophage retourné de Tortue de nier. dautant plus quil est peu dangereux de leschasser et très utile de les prendre. Mais siquelques traits do leur histoire paraissentprouver quelles ont une sorte de supérioritédinstinct, le plus grand nombre de ces mômestraits ne montrent, dans les grandes Tortues (•) W, interclavicule; d, clavicules ; llijp, hyoplasUun ;llpp, hypoplaslron ; Xp, xipliiplastron (daprès Huxley).RliPlILES. — U i06 LES TORTUES DE MER. de mei-, que des propriétés passives plutôtque des qualités aclives. Rencontrant unenourriture abondante sur les côtes quellesfréquentent, se nourrissant de peu et se con-tentant de brouter lherbe, elles ne disputentpoint aux animaux de leur espèce un alimentquils trouvent toujours en assez grande quan-tité. Pouvant dailleurs, ainsi que les autresTortues, passer plusieurs mois sans prendreaucune
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