. Annales des sciences naturelles. Zoology; Biology. 154 L. BORDAS va- Les no\aiix des glandes séricigènes des larves, d/o Irene^ de Saturmapyri, (ïAgrôtis fimhna, à'AsphaliH flavicornis, eto., sont également très ramifiés (Voy. fig. 7, 8). Leurs divers prolongements latéraux se 77^ terminent par une extrémité arrondie et présentent la forme de ramusculescourts, claviformes, partant d'un axe médian et irrégulier. La forme de ces noyaux, le nombre et le mode de leurs ramifications ou prolonge- ments varient à pig. 8. — Coupe longitudinale de la partie sécrétrice de glande séricigène A


. Annales des sciences naturelles. Zoology; Biology. 154 L. BORDAS va- Les no\aiix des glandes séricigènes des larves, d/o Irene^ de Saturmapyri, (ïAgrôtis fimhna, à'AsphaliH flavicornis, eto., sont également très ramifiés (Voy. fig. 7, 8). Leurs divers prolongements latéraux se 77^ terminent par une extrémité arrondie et présentent la forme de ramusculescourts, claviformes, partant d'un axe médian et irrégulier. La forme de ces noyaux, le nombre et le mode de leurs ramifications ou prolonge- ments varient à pig. 8. — Coupe longitudinale de la partie sécrétrice de glande séricigène A'Agrotis fimhrla. Nous avons trouvé à peu près la même structure chez la Chenille de Plereles malronula. — 7np, membrane péritonéale très mince, avec petits noyaux aplatis ; pr, cytoplasme avec trabécules et nombreuses granulations autour des noyaux; n. noyaux vacuolaires, conte- nant de nombreux grains chromatiques; va, enclaves lusiformes ou cylindri(|ucs situées du côté interne des cellules et au voisinage de la membrane ou intima mi : couche pariétale cp et cylindre central cij de la substance séricigène. B. — Membrane ixterxe iinl'ima). L'intima chitineuse, chez les larves que nous avons étudiées est une membrane mince, solide, élastique et transparente. Elle a été étu- diée successivement par Leydig, Helm, L. Blanc et G. Gilson chez le Ver à soie. Helm la considère comme striée et perforée de fines canalicules permettant aux liquides sécrétés par les cellules d'arriver jusqu'au canal central. Cette manière de voir est erronée. Elle porte intérieurement des épaississements annulaires (Voy. fig. 7), unis par de fines ramifications ou trabécules trans- versales et a, par conséquent, une structure histologique com- parable à celle des trachées. Nous avons toujours constaté (Voy. fig. 7) que les épaississe- ments spirales sont internes, c'est-à-dire dirigés du côté du canal glandulaire. De nombreuses coupes lon


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