. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. Séance du 23 février 191G. 99 rappelle assez bien la forme qu'il a chez E. Dosfoievskui Tsh'iish., niais est proportionnellement bien plus large ('). La sculpture desélytres est très remarquable : les o premiers intervalles sont lisses et brillants sur la moitié basilaire de chaque élytre, la partie brillante étant sail- lante, mais aplatie à sa partie supérieure ; chacune de ces côtes se ter- mine en pointe au milieu de son intervalle respectif un peu en arrière du milieu; seule la 1''^ côte (suturale) de chaque élytr
. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. Séance du 23 février 191G. 99 rappelle assez bien la forme qu'il a chez E. Dosfoievskui Tsh'iish., niais est proportionnellement bien plus large ('). La sculpture desélytres est très remarquable : les o premiers intervalles sont lisses et brillants sur la moitié basilaire de chaque élytre, la partie brillante étant sail- lante, mais aplatie à sa partie supérieure ; chacune de ces côtes se ter- mine en pointe au milieu de son intervalle respectif un peu en arrière du milieu; seule la 1''^ côte (suturale) de chaque élytre aboutit non au milieu du 1" intervalle, mais tangentiel- lement à la suture. Les côtes 1, 3 et o se prolongent un peu plus en arrière que les cotes 2 et 4, cette dernière étant notable- ment plus courte que la 2«; les stries 5 et 6 sont superficiellement marquées et Tin- tervallc compris entre elles, qui représente remplacement de la Q'' côte, n'est nulle- ment relevé et est entièrement mat et chagrine de la base jusqu'à l'apex; toute la déclivité apicale des élytres est mate et finement chagrinée, de même que les espaces étroits entre les côtes brihantes. OUo disposition rappelle un peu celle (|ue l'on observe chez E. Dostoiei^skiji Tshitsh., mais à un degré beaucoup m(»indre en ce qui concerne les parties mates et granuleuses qui n'existent, chez Dosioievsliji, qu'au voisinage de l'apex; de plus, chez cette dernière espèce, la 6*^ côte est très nette, quoique plus étroite que la précédente. Les stries restent fine- ment marquées jusqu'à l'apex dans la partie mate et chagrinée des élytres chez notre espèce nouvelle. Le 3'' article des antennes est aussi remar- quablement plus long chez elle que chez E. androyanus Tsliitsh.,mais le 2"^ est encore plus court que chez ce dernier. Le dessus des tarses est nu, l'onychium estsétulé en dessous e
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