Archive image from page 190 of Dictionnaire de physiologie (1898). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph03rich Year: 1898 CHALEUR. 79 grand iu)inl)re li'èlii's. Voilà la polypiiÃr tlicrniitiiii' prupitMiifinl dilc;. Klle esl, dans les coiidiluins nonualos de la vie des animaux, nniquonient rÃflexe. Mais si, pour une cause on pour uni' antre, la tempÃrature a continuà à croître, alors, à cette poly|inÃe rÃflexe vient s'ajouler la polypnÃe centrale, qui se manifeste quand la tem|)Ãrature monte à 41',.') ou 42'. Peut-être serait-il bon d'appeler la ineniière pobipni'y. centrale orga


Archive image from page 190 of Dictionnaire de physiologie (1898). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph03rich Year: 1898 CHALEUR. 79 grand iu)inl)re li'èlii's. Voilà la polypiiÃr tlicrniitiiii' prupitMiifinl dilc;. Klle esl, dans les coiidiluins nonualos de la vie des animaux, nniquonient rÃflexe. Mais si, pour une cause on pour uni' antre, la tempÃrature a continuà à croître, alors, à cette poly|inÃe rÃflexe vient s'ajouler la polypnÃe centrale, qui se manifeste quand la tem|)Ãrature monte à 41',.') ou 42'. Peut-être serait-il bon d'appeler la ineniière pobipni'y. centrale orga- n<</M6-(celle qui parait être constante chez tous It's .luiniaux à sanp: chaud) et, la seconde, polj/pnÃe centrale fonctionnelle, caractÃrisÃe par un rythme spÃcial, et liÃe spÃcialement à la rÃfrijÃration de (juelqiies animaux. Celte polypnÃi' thernii(iue, survenant chez l'nninial ÃchaullV-, est une fonction si impÃrieuse qu'elle fait cesser toute autre aciioii nerveuse. Les chiens poly[)ii(''iques n'ont plus d'autre souci que de respirer rapi- dement, et ils ne s'arrêtent quehjues secondes dans leur rythme respiratoire prÃcipità que pour faire de temps à autre un mouvement de (h'-ilutitioii. Alors, pour un temps très couil, pidliahleraent par suite d'une inhibition du conlro respirateur par l'actività du centre de la dÃjlutition, la respiration s'arrête; puis elle reprend avec la même frÃquence que tout à l'heure quand la dÃglutition a cessÃ. Il s'agit de prouver maintenant que, contrairement à l'opinion d'auteurs qui avaient Ãcrit avant moi sur la dyspnÃe thermique, la frÃquence de la respiration n'est pas dÃterminÃe par un besoin d'oxy- gène. Or, non seulement elle n'est pas dÃter- minÃe par le besoin d'oxygène, mais encore elle n'a lieu que si le sang est saturà d'oxygène. A priori on pouvait concevoir qu'il devait en être ainsi ; car un chien qui respire la gueule ouverte 400 fois par mi


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