. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . ue chose. T H ÉRÈZ K. Moi ; cest plutôt à vous à me EDOUAÎID. Ah I mon dieu, je ne demande pas mieux ; mais quest-ceque je te donnerai ? THÉRÈSE Il faut me donner votre parole que vous nen aimerez ja-mais dauîre que moi. EDOUARD Cest fait depuis long-temps, cela; tiens, jaime mieux tedonner. . écoute ; je vais te dire cela à loreille. T H É B È s E Oh 1 non y non , non, non -, je vous devine. ^irnoupeau. Je crois que jentends mon pè noJissurprenait grand dieu îPartez vite. EDOUARD. Oui , ma


. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . ue chose. T H ÉRÈZ K. Moi ; cest plutôt à vous à me EDOUAÎID. Ah I mon dieu, je ne demande pas mieux ; mais quest-ceque je te donnerai ? THÉRÈSE Il faut me donner votre parole que vous nen aimerez ja-mais dauîre que moi. EDOUARD Cest fait depuis long-temps, cela; tiens, jaime mieux tedonner. . écoute ; je vais te dire cela à loreille. T H É B È s E Oh 1 non y non , non, non -, je vous devine. ^irnoupeau. Je crois que jentends mon pè noJissurprenait grand dieu îPartez vite. EDOUARD. Oui , mais ma chère,Un doux adieu. THÉRÈ cette place,Y pensez-vous? ah ! quelle audace! EDOUARD. Allons, de bonnegiâceII faut que Ton me H ÉrÈs donc [bis)On va sortir de la maison. É, que crains-tu donc?11 est encor dans la maison. T H É R. È s ,non , ( ter ) vous perdez la raison. EDOUARD. Cest toi ( ter) qui môles la ! je vais venir ma mère. THÉRÈSE. Comme elle va nous présent que faut-il faire ?. ( lO EDOUARD^Il faut cé, ma chère amie ,Exauce un amant qui len prie. THÉRÈSE. Mais quelle envie,Ah ! cest vraiment de la folie. coeur si bien épris ,Ah ! quun doux baiser soil le prix. THÉRÈSE. Non , je vous rious allons être surpris. ( Edouard Uembrasse au moment oh le père et la mère sur-*viennent. )Adieu (^ fois ) le voilà pris. T HÉ R È SE. Mon dieu {^ fois) nous voilà pris. SCENE VII. Les Précédents, Madame BONTEMS venant de dehors %GERVAIS sortant de chez^ lui, GERVAIS et Mad. B ONTEM s. Eh ! bien , eli ! bien, quest-ce que je vois donc là ?... EDOUARD ( embarassé ).Ce nest rien, monsieur cest que mademoisellevotre fille me souhaitait ma fête. Madame B o N T E M sSa fête. EDOUARD, bas à sa mè donc, ma mère. GERVAIS Tu tappelles-donc Louis P EDQUARRD Jai cet honneur là, GERVAIS En ce cas, il faut que je tembrasse aussi.


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