L'orphelin et l'usurpateur : dédié `a MLe Vicomte de Chateaubriand . sa famille. Il demanda donc et obtinten mariage pour son fils, Hildeflède , filleaînée de ce Dreugot Osmond, qui, depuis ,ayant tué, dans Xm Foret aux lions^ GuillaumeRipostel, coupable d^avoir séduit Havoise ,fille cadette de ce châtelain , fut réduit à seretirer dabord en Bretagne , et plus tard enItalie, j) En cet endroit, le comte de Brionne futobligé de sarrêter un instant pour prendreun repos rendu nécessaire par la longueurde cette narration. Le sire de Gui tôt demeuraabsorbé dans les idées excitées en
L'orphelin et l'usurpateur : dédié `a MLe Vicomte de Chateaubriand . sa famille. Il demanda donc et obtinten mariage pour son fils, Hildeflède , filleaînée de ce Dreugot Osmond, qui, depuis ,ayant tué, dans Xm Foret aux lions^ GuillaumeRipostel, coupable d^avoir séduit Havoise ,fille cadette de ce châtelain , fut réduit à seretirer dabord en Bretagne , et plus tard enItalie, j) En cet endroit, le comte de Brionne futobligé de sarrêter un instant pour prendreun repos rendu nécessaire par la longueurde cette narration. Le sire de Gui tôt demeuraabsorbé dans les idées excitées en son espritpar le récit de ces événemens, qui ne lui étaientqu^mparfaitement connus, parce qii\iu mo-ment où ces guerres et ces intrigues avaientéclaté, il se trouvait retenu à la cour deFrance pour les alFairesdu comte de , tant que ce dernier clià fclain ^ardale silence, son méditatif audilrnr \\v lo rom - â 33o â pit pas, et attendit que son suzerain reprîtla parole. CVstce que celui-ci ne tarda poinfà faire de la manière La maison à présenî, comme savez de reste^ Au bon monsif ur Tariuffe appartient ( Molière , Tartuffe. ) Son couronnement ne fut que lacteculminant dune conspiration triom-phante ( Ch. Nodier. ) â 333 SUITE ET FIN DE LHISTOIRE DARTVOULD. K^^^-tec- ivvANT de continuer mon récit et pour tcrtfendre la suite tout-à -fait intelligible, il estindispensable que je fexpose en peu de motset la conduite qu^avait tenue Talvas durantles longues guerres d^Arnoidd avec ^ assy, etla situation oii se trouvait alors le comté deSonnois. «( Talvas, (jui, plus que jamais , brûlait {]c â 334 âconsommer Tusiirpalion de cette seigneurie ,vit aisément combien il lui importait de nepas échouer dans ce dessein, qui, sil venaitencore à manquer, serait pour toujours im-praticable. Aussi comprit-il que la connais-sance du caractère d^Arnould et la certitudede
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