. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences. Science -- Societies, etc; Science; Science. SÃANCE DU 3^ MARS 1902. 701 » Si l'orage était peu distant (Soo""" au maximum) et en vue, l'inverse avait généralement lieu. Les vibrations électriques étaient donc verticales ou voisines de la verticalité. » Des résultats similaires peuvent être obtenus avec une ampoule à vide, pareille à celles île Crookes, mais contenant un tourniquet à une seule ailette en aluminium poli montée sur un axe en verre et équilibrée par un minuscule contrepoids égal


. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences. Science -- Societies, etc; Science; Science. SÃANCE DU 3^ MARS 1902. 701 » Si l'orage était peu distant (Soo""" au maximum) et en vue, l'inverse avait généralement lieu. Les vibrations électriques étaient donc verticales ou voisines de la verticalité. » Des résultats similaires peuvent être obtenus avec une ampoule à vide, pareille à celles île Crookes, mais contenant un tourniquet à une seule ailette en aluminium poli montée sur un axe en verre et équilibrée par un minuscule contrepoids également en verre. Ce tourniquet obéit à la pression des ondes électrolumineuses ou hertziennes, laquelle résulte des tensions électrostatique et électrodynamique, et tend, par répulsion, à orienter l'ailette métallique parallèlement aux radiations. Cette pression est la cause principalement efficiente du fonctionnement des cohéreiirs. » Les vibrations verticales sont directes. Les vibrations horizontales sont-elles diffractées, réfléchies, réfractées ou secondaires ? Pour les très longues distances, une explication basée sur la diffraction me paraît insuf- fisante. )j PHYSIQUE. â Contribution à l'étude des tuyaux sonores. Note de M. C. Maltézos, présentée par M. A. Cornu. « J'ai l'honneur de soumettre à l'Académie quelques observations rela- tives aux tuyaux sonores, lesquelles contribueront, je pense, à leur théorie, encore incomplète. )) La bouche des tuyaux constitue inie espèce d'ajutage divergent, formé par la lèvre supérieure et le seuil. Le gaz sortant par la fente ne se moulerait pas sur le seuil, mais il doit se former, croyons-nous, au bas du courant, une raréfaction qui se compléterait par un contre-courant d'air de l'extérieur vers l'embouchure. » La première idée de cette hypothèse m'a été inspirée par deu


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