. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. 639 grande i'ic;. 1. NICOLAS. â LE « SPHFA SPLENDIDULUS » DA COSTA diamèlro, sont au contraire des plus élastiques; capables d'une extension, ils peuvent se porter de droite ou de gauche, en quête d'une nourriture succulente qui, épuisée, fait défaut main- tenant : de là , l'exploration aux environs. Viennent en dernier lieu, après ceux-ci, deux autres, dont le premier porte la tête, d'un jaune clair, comme gélatineux, transparents, possédant la m^me propriété rétractile et contractile. En tout treize segments pour l'ensemble. Tell


. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. 639 grande i'ic;. 1. NICOLAS. â LE « SPHFA SPLENDIDULUS » DA COSTA diamèlro, sont au contraire des plus élastiques; capables d'une extension, ils peuvent se porter de droite ou de gauche, en quête d'une nourriture succulente qui, épuisée, fait défaut main- tenant : de là , l'exploration aux environs. Viennent en dernier lieu, après ceux-ci, deux autres, dont le premier porte la tête, d'un jaune clair, comme gélatineux, transparents, possédant la m^me propriété rétractile et contractile. En tout treize segments pour l'ensemble. Telle est aussi la larve primaire (1) du Si^hex splendidulus (fig. 1) dont l'étroite analogie, la curieuse ressemblance accuse le même régime alimentaire, puisé et prélevé sur des espèces d'une même famille. Le cocon. â Après cette phase des plus mouvementées, la larve se tisse un cocon résistant, parcheminé, cassant, pour opérer sa transformation, première métamorphose. Dissimulé, c'est d'abord une délicate et frêle enveloppe des plus trans- parentes, assez large, ample, faiblement plissée, d'un blanc cendreux, jau- nâtre, qui l'entoure. Très soyeuse avec des reflets miroitants, elle est souple, flexible, mais paraissant gommée; elle est de plus onctueuse au toucher. En haut elle se termine par une soie plus rougeâtre, effilochée, cachant une ouverture. En réalité, c'est un sac (2) flasque et long de 26 millimètres environ, véritable pelure d'oignon renfermant le cocon, lequel est encore recouvert d'une deuxième mem- brane d'un fin tissu léger, des plus soyeux, le couvrant étroitement ; soule- vée, c'est une mince pellicule protectrice qui s'enlève facilement. Le cocon (fig. 2j apparaît alors sous cette double étoffe, n'ayant aucun rap- port, dans sa structure, avec les tissus qui l'abritaient. La larve a dégorgé comme une substance glaire


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