Oeuvres de Le Grand, comédien du roi . Les grandes Filles dà-pré(entMe traitent de petit enfant 5Pour moi quelle douleur mortelle 1Mais leur beauté dépérira,Tandis que la mienne croîtra,Ah ! ceft au temps que jen appelle. UNE COMÉDIENNE, au Parterre. A nos trois Sujets différens, Sil manque certains agrémens. Du moins lidée en eft nouvelle; Contre le critique envieux > Parterre iî judicieux ! Ah ! ceft au t^mps que jen appelle. ENTRÉE GÉNÉRALE. Fin de la îroifieme G* dernière Partie. LE MAUVAIS Ê N A G E, PARODIE, lepréfentée fur le Théâtre de VHotel de Bour-,gogne^parles Comédiens Italiens
Oeuvres de Le Grand, comédien du roi . Les grandes Filles dà-pré(entMe traitent de petit enfant 5Pour moi quelle douleur mortelle 1Mais leur beauté dépérira,Tandis que la mienne croîtra,Ah ! ceft au temps que jen appelle. UNE COMÉDIENNE, au Parterre. A nos trois Sujets différens, Sil manque certains agrémens. Du moins lidée en eft nouvelle; Contre le critique envieux > Parterre iî judicieux ! Ah ! ceft au t^mps que jen appelle. ENTRÉE GÉNÉRALE. Fin de la îroifieme G* dernière Partie. LE MAUVAIS Ê N A G E, PARODIE, lepréfentée fur le Théâtre de VHotel de Bour-,gogne^parles Comédiens Italiens ordinairesdu Roi en 172J. B ACTEURS. ARBARIN, Prévôt MARIAMNE, Femme de Barbarin. SIMONNE, Sœur de Barbarin. C L É O N, Marquis^ Colonel de Dragons» JOLI-C(EUR, Dragon. MARAUD IN, Ami de Simonne & d^Barbarin. ; GRIFFON, Secrétaire de Barbarin. ARLEQUIN, Vieux DomeftiquedeMariamne SCARAMOUCHE. Troupe Troupe D A R C H E R S. La Scène ejî dans une Ville de Normandie ^fur le bord de la LE MAUVAIS È N A G E, PARODIE. SCENE , MARAUDIN. MARAUDTN. ^Ui y cette autorité, qu*un frère vous confie ^. :ft reconnue en Haute & BaiTe-Normandie.! ai volé vers Gifors ; &, traverfant Rouen,lepaflfé par Avranche , & de Falaife à , il étoit temps j car, prompts à fe dédirey:S[qs Normands commençoient par-tout à voutI détruire : 400 LE MAUVAIS MÉNAGE, Barbarin votre Frère, à Rouen revenu,Déjà dans ces Cantons nétoit plus reconnu ;Et ce Prévôt altier, accufé dinjuftice,De fes fraudes devoit recevoir le vu par ces faux bruits tout ce Peuple ébranléMais j ai parlé, Madame , & ce Peuple a trembléJ*ai dit que Barbarin étoit de fon affaireSorti bianc comme neigej & que, plein de colèreIl revenoit ici plus fier, plus venger hautement de tous fes envieux. revient en effet, ceft une chofe fûre, M A R A U D I fà Femme nous va donner de tablature ! Il la verra, M
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