. Mémoires sur le siècle de Louis XIV et la régence; . urgogne 103 Le Mariage du duc de Berry 106 Madame de Saint-Simon, dame dhonneur Jii Mort de Madame de la Vallière 115 Le Médecin Boudin et le faiseur dor 116 Les Noces de Jeannette 118 ^Le Maréchal de Choiseul 120 Mort de Monseigneur 121 La Duchesse de Villeroy -. 134 La Résurrection de Fénelon 135 Transformations du nouveau Dauphin 139 Pontchartrain le tils . 143 Le Credo de Saint-Simon 144 Une Surprise 146 La Duchesse de Berry 149 Une Réconciliation 151 Mort de BoufHers , . 153 Le Duc de Noailles 154 Mort de Catinat 159 Mort de la Dauphi
. Mémoires sur le siècle de Louis XIV et la régence; . urgogne 103 Le Mariage du duc de Berry 106 Madame de Saint-Simon, dame dhonneur Jii Mort de Madame de la Vallière 115 Le Médecin Boudin et le faiseur dor 116 Les Noces de Jeannette 118 ^Le Maréchal de Choiseul 120 Mort de Monseigneur 121 La Duchesse de Villeroy -. 134 La Résurrection de Fénelon 135 Transformations du nouveau Dauphin 139 Pontchartrain le tils . 143 Le Credo de Saint-Simon 144 Une Surprise 146 La Duchesse de Berry 149 Une Réconciliation 151 Mort de BoufHers , . 153 Le Duc de Noailles 154 Mort de Catinat 159 Mort de la Dauphine 159 Mort du Dauphin 165 Nouvelle disgrâce du Duc dOrléans 175 Mort de Vendôme 182 La Victoire de Denain 183 Le Duc de Chevreuse et sa femme 186 Paris. — Iiiip. Larousse, 17, rue Montparnasse T. L. iO-lliS). se wÉM©mEs. - T. m SAINT-SIMON le IL®MflS M¥ @î la ] \m(sm Réâ^m€i EXTRAITS SUIVIS ILLUSTRÉS .NOTICES liT PAltAUG. DUPOUY, AGRÉGÉ DEI/IMVKHSITÉ, LAURÉAT DE LA-CADÉMIE FRANÇAISE t t t t t suê Crxn GRAVURESDOXT gUATHE HORS TEXTE ?55^^ F^rBs - aS°ii7, rue î^ojnHusa,rira&,^S5« MÉMOIRESDE SAINT-SIMON CdSinraposés d« ii(S94 à 1755 Brissac. aE vieux Brissac mourut aussi à pareil âge ^, retiré chez luidepuis plusieuis années. Il était lieutenant général et gou-•^ verneur de Guise, et avait été longtemps major des gardesdu corps. Cétait un très petit gentilhomme qui avait percé tousles grades des gardes du corps, qui avait plu au roi par son applica-tion, par ses détails, parson assiduité, par ne compter que le roi etne ménager personne. Il en avait tellement acquis la familiaritéet la confiance sur ce qui regardait les gardes du corps, que lescapitaines des gardes, tout grands seigneurs et généraux dar-mée quils étaient, le ménageaient et avaient à compter avec lui,à plus forte raison tous les officiers des gardes. Il était rustre,brutal, dailleurs fort désagréable et gâté à lexcès pa
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