. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. L\ \DIF Di; SOMMEIL Al CONGO FRANÇAIS Un autre fossé longe le village à la limile île la broussailleiiiii le sépare de ses planliiiionset se continue le long du poste <^l de la laetorerie. Après de grandes pluies, cest le seul|ioinl du village qui puisse contenir de leau iiendant quelques jours, et encore la plupart dulenqis lécoulement des eaux doit Olre assuri par le premier lossé dont nous avons parléri-flessus. Au delà lie ce dernier lossé, existe une haude de lerraiu dune centaine de lucli-es d


. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. L\ \DIF Di; SOMMEIL Al CONGO FRANÇAIS Un autre fossé longe le village à la limile île la broussailleiiiii le sépare de ses planliiiionset se continue le long du poste <^l de la laetorerie. Après de grandes pluies, cest le seul|ioinl du village qui puisse contenir de leau iiendant quelques jours, et encore la plupart dulenqis lécoulement des eaux doit Olre assuri par le premier lossé dont nous avons parléri-flessus. Au delà lie ce dernier lossé, existe une haude de lerraiu dune centaine de lucli-es delargeur environ, recouverte de broussailles et de taillis avec quelques grands arbres. lJilinpai-irii cette zone se trouvent les plantations de manioc du village. 1/iui rencontre, en dernier lieu, la grande brousse qiu se trouve coupic. à 2 kilomètrescnviriui fin village, par une bande marécageuse. bâtiments de la laetorerie et du poste sont construit en cliaume et pisi. Les cases indigènes sont disposées en travées parallèles enire elles, perpendiculaijcs au. CrojuLs dfSélou. ->-N ??A ^,,„, a/ar/orrriA i, ^ ^éarracÙTr c(iui> lie rouliangbi cl deuvinin icnl mètres de long. Elles sont ciiuverles en cbiuimc ri nutleurs parois faites quelquefois de paille, gèniralrmeid déioiccs darliiTs. Os cases sontpetites, excessivemeul basses et dune saleli repoussanle. Le village esl dailleurs assez mal tenu : les allées ipii sépareul les raugies de cases sonimalpropres. \/.\ destruction dun giand nond)re de ces cases ipii lonibent de vétusté a étépresei-ile par le clief de iioste et leur recousiruction avec mius en pisé a été décidée. Le village compte à âmes, en y comprenant la population flottante(venant en général de lEtat indépendant) et qui peut èlre évahu^e .î 200 ou 400 indi-vidus. TiiviANosoMiASE HiMAixii. — Dès nolrc arrivée, nous fîmes noire enr)uAle au sujetde lexistence de la Trvpanosomiase humaine à B


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