. Les Français peints par eux-mêmes . ux hommes entrelacés comme des sf rpenls setraine péniblement dans larène, jusquà ce quenfin undes lutteurs, dans un mouvement mal calculé, soit tourné,soulevé et renversé, aux applaudissement? de lassem-blée. Si la lutte a été bien soutenue de part et dautre,le public console par quelques bravos le , qui salueavec confusion, sinon le sifUet laccompagne. A chaque relâche, les combattants ont recours au cor-dial : le vin ou leau-de-vie; mais quelques-uns senabstiennent comme dune chose nuisible, et se conten-tent de garder dans leur bouche un fétu de


. Les Français peints par eux-mêmes . ux hommes entrelacés comme des sf rpenls setraine péniblement dans larène, jusquà ce quenfin undes lutteurs, dans un mouvement mal calculé, soit tourné,soulevé et renversé, aux applaudissement? de lassem-blée. Si la lutte a été bien soutenue de part et dautre,le public console par quelques bravos le , qui salueavec confusion, sinon le sifUet laccompagne. A chaque relâche, les combattants ont recours au cor-dial : le vin ou leau-de-vie; mais quelques-uns senabstiennent comme dune chose nuisible, et se conten-tent de garder dans leur bouche un fétu de paille poury entretenir la fraîcheur et conserver la respiration fa-cile. Il est impossible de décrire toutes les physionomiesde ce spectacle multiforme si accidenté, chaque lutteurapportant son mode, chaque lutte apportant ses variétés. Quelques coups pourtant, plus fréquemment employés,méritent mémoire. Cest dabord le (our de cuisse, où excelle Coste deThulain, et qui consiste à faire trébucher ladversaire. quel, chargeant le bras de lopposant snr son épaule, il


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