. Le Jardin des plantes : description. der ce travail avec de la ficelle et de la colle. « (lui, oui, me dit JacU en secouant sa mutine tête, ccsl fiirl bien,pa[)a ; ayez seulcmeul à [iréscnl la bonté de miudiipicr la boiiti([iiedu marchand de colle, [loiir ([lie jaille en acheter. 32 LE ROBINSON SUISSE. — Je te lappieiulrai, moi, dit en riant le petit Fiiinrois; adresse-toi à maman, elle le donnera une de ses tablettes de bouillon, quiressemblent paiiailement à un morceau de e(dle forte. — Petit imbécile, lui dit Jack, crois-tu quil suflise que cela yressemble? Jai besoin de colle, cl non dun


. Le Jardin des plantes : description. der ce travail avec de la ficelle et de la colle. « (lui, oui, me dit JacU en secouant sa mutine tête, ccsl fiirl bien,pa[)a ; ayez seulcmeul à [iréscnl la bonté de miudiipicr la boiiti([iiedu marchand de colle, [loiir ([lie jaille en acheter. 32 LE ROBINSON SUISSE. — Je te lappieiulrai, moi, dit en riant le petit Fiiinrois; adresse-toi à maman, elle le donnera une de ses tablettes de bouillon, quiressemblent paiiailement à un morceau de e(dle forte. — Petit imbécile, lui dit Jack, crois-tu quil suflise que cela yressemble? Jai besoin de colle, cl non dun consommé. LE pÈbe. Pas si imbécile, monsieur Jack : la vérité sort souvent dela bouche des enfants, et vous ferez fort bien de suivre le conseilde ce petit garçon : pour moi, je suis convaincu quune tablette deviande fondue dans très-peu deau, puis épaissie par la cuisson, doitfaire une très-bonne colle; ))rends-en une, mets-la sur le feu dansune coque de noix de coco; il faut au moins eu faire lessai. » ^^ Le petil François avait son arc à la main et sun carquois décorce sur lépaule. Pendant que Jack préparait sa ((die, et que François, lier de la-voir inventée, laidait eu souûlaiil le feu, Kril/. vint me dcuianderdes c\plicali(Uis sur la niauière de fabri({iier son étui : « ^ a cbcr-clier la peau, lui dis-je, et tu travailleras près de moi.» Je massissur lherbe, je pris mon couteau, et je commciu;ai à faire un petitarc pour I* rauçois aviC un reste de bauibou. Jétais enchanté (|uilsprissent tous la fantaisie de tirer de larc, cl je désirais qno par lha-liitude ils pussent se ]>erfeeliiunur dans cet exercice, qui était larmedes anciens ijuerriers, el (jui pouvait devenir par la suite notre seulmoyen de défense et de subsistance : noire incivision de poudre de-vait finir ]iar sépuiser, nous pouvions dailleurs la perdre dun luo-iiicnt à lautre par un accident; il était donc très-utile davoir unautre moyen de chasser et de t


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