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L'urologie et les médecins urologues dans la médecine ancienne : Gilles de Corbeil ; sa vie, ses oeuvres, son poème des urine . £e mat.Ç$eSkiti a tout #o/?te ozim.£)oj>ee Soue fceutte 9e meSicmc,*3ffe * pour potion: ;©: Sou* $tft fa mo:É SemâSecot) mire fefcet guérir. £e mediatj.£ottqt?pe a que (att Se p0t/iï|.Jap m te toute mon et pzatiquepour 0uertr mamf e mafaoïe3? ne fr ap que te cont te SteJbfuenp8auft0er6ene ;$<iutteveme$e quoyqud £,ot\tte fa morfna meStcme. Fig. 12. — Danse des morts de Couteau. 130 L UROLOGIE ET LES MEDECINS UROLOGUES cabre de Couteau qui se rapporte au médecin. Celui-ci voudraitavoir un remède pour échapper à la mort et il regarde attenti-vement son urine comme pour y découvrir la source de son. Fig. 13. — Danse macabre de De Marne! (Paris 1490) (1). mal ; mais la mort impitoyable le raille et lui dit quil na quefaire dexaminer son urine. Or vous vient la mort demanderComme autre vous convient morirVous ny pouvez contremanderBon mire est : qui se sait guérir. La danse macabre de G. de Marnef (Paris 4490) reproduit lemême sujet et presque sous la même forme. Mais ici le mé-decin semble discuter avec la mort et cherche à lui démon- (1) Cette figure est empruntée à louvrage de M. Alf. Franklin, La vie privéedautrefois : Les médecins. DANS LA MEDECINE ANCIENNE 131 trer que son arrêt ne saurait être sans appel, puisque lurinene juge pas dans le même sens. Comme la précédente, cette figure est surtout intéressante parles renseignements quelle nous fournit sur lallure et le cos-tume du médecin du XVe siècle. « Lorsquils sen vont par-les rues, écrit Jean de Jaudun, vers 1323, avec leurs richeshabits et leur bonnet doc-toral, ceux qui recourent àleur art nont pa
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