. Bulletin de la Société zoologique de France. Zoology. 58 SÃANCE DU 28 FÃVRIER 1895 Il est facile de constater, sur la figure ci-jointe, la déviation du crâne et de la face. La ligne médiane supérieure de cette tète osseuse, au lieu d'être rectiligne, est une courbe dirigée de gauche adroite, et, par cela même, aucun des os doubles et les moitiés d'aucun des os uniques composant cette tête ne sont situés d'une façon tout à fait symétrique, par rapport au plan médian longitudinal. De plus, il en résulte évidemment que pas un des os doubles et que les moitiés d'au- cun des os


. Bulletin de la Société zoologique de France. Zoology. 58 SÃANCE DU 28 FÃVRIER 1895 Il est facile de constater, sur la figure ci-jointe, la déviation du crâne et de la face. La ligne médiane supérieure de cette tète osseuse, au lieu d'être rectiligne, est une courbe dirigée de gauche adroite, et, par cela même, aucun des os doubles et les moitiés d'aucun des os uniques composant cette tête ne sont situés d'une façon tout à fait symétrique, par rapport au plan médian longitudinal. De plus, il en résulte évidemment que pas un des os doubles et que les moitiés d'au- cun des os uniques n'ont, d'une manière exacte, la même grandeur que leur corres- pondant. Les molaires supérieures des deux côtés ne sont pas complètement opposées aux molaires inférieures : le bord interne des molaires supérieures du côté droit touchant au bord externe des molaires inférieures, et le bord interne des niolai- Presque de g^Lr natureUe. res supérieures du côté gauche touchant au bord externe des molaires correspon- dantes. De plus, les molaires supéro-droites sont légèrement plus longues que les molaires supéro-gauches, et les molaires inféro- droites sont notablement plus longues que celles du maxillaire inférieur gauche. Quant aux incisives supérieures et inférieures, ainsi qu'aux deux petites incisives supérieures supplémentaires qui caractérisent le groupe des Duplicidentés, leur longueur et leur direction anomales résultent évidemment de ce fait que, par suite de leur déviation, provenant de la déviation des maxillaires, l'accroissement continu de ces dents n'a pas été contrebalancé par leur SUR L'HIBERNATION DU LACERTA MURALIS ET DU LACERTA YIHIDIS par Raymond ROLLINAT. Le Lézard des murailles, Lacerta muralis, n'a pas de période d'hibernation proprement dite. 11 se montre pendant toute l'année, même penda


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