Messéniennes, et Chants populaires . OTES ce Pelage a réveille nos tribus assoupies ; (c Du guérillas fuyant le plomb vous atteindra ; a Son stylet dans la main le meurtre vous suivra« Sur la crête des Asturies,a Dans les gorges de la « Ils ne sont plus ces jours oii, vous prenant pour guides, ce Les arts, dun héroïque essor,ce Suivaient en combattant dans des déserts arides« Les pas de Sultan juste et de Sultan bras dor*. « Ils ne sont plus ces jours de liberté, de gloire,ce Jours sauveurs, et par vous à jamais consacrés,ce Où la France abreuvait ses sillons altérésce Du sang dont K


Messéniennes, et Chants populaires . OTES ce Pelage a réveille nos tribus assoupies ; (c Du guérillas fuyant le plomb vous atteindra ; a Son stylet dans la main le meurtre vous suivra« Sur la crête des Asturies,a Dans les gorges de la « Ils ne sont plus ces jours oii, vous prenant pour guides, ce Les arts, dun héroïque essor,ce Suivaient en combattant dans des déserts arides« Les pas de Sultan juste et de Sultan bras dor*. « Ils ne sont plus ces jours de liberté, de gloire,ce Jours sauveurs, et par vous à jamais consacrés,ce Où la France abreuvait ses sillons altérésce Du sang dont Kellermann arrosait sa victoire. * Surnoms donnes par \vs Arabes a Desaix va a INOTKS -21^ « fnfortunés déhiis de tant clex[)Ioits |)ass(s« Vous allez perdre dans nos sables« I^es derniers lambeaux vénérables« ()ue le boulet vous a laissés. « Arrière, étendards intré« Mais non, la charge sonne, et vous obéirez :« O vainqueurs de Valmy, pleurez !« Pleurez, vainqueurs des Pyramides ! ». DITIIYRAMHK SUK LA NAISSAINCK I) T liOl \)E IU)MK -^-^^r^ 90 Mars I8i^ Destin, f|ui mas promis lempire de la terre,« Tîi disais : Rome, un jour souveraine des rois, « Les verra, courbés sous ses lois,f Devant elle abaisser leur sceptre tributaire :«( Rome au monde asservi dictera ses arrêts. Où sont ces rois captifs, ces tributs, ces hommages> Et ce sceptre vain([ueur des peuples et des tiges? < Destin, quont produit tes décrets? i6 •298 DITHYHAMHr SI |{ NAISSANCR a Ma gloire a disparu comme une ombre légère ; (c Autour de moi je vois épars<c Les antiques débris du trône des Césars ( Ensevelis dans la poussière. Où marchaient mes soldats, où flottait leur bannière, a Je naperçois que des tombeaux ;« Et, déchu pour jamais de sa splendeur première,f( Un peuple de vaincus ose fouler la terre (( Ou dort un peuple de héros. » Rome! ne gémis plus sur tes foudres é séjour du destin ont pénétré tes pl


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