Revue pittoresque : musée littéraire . uscrit loruiidable, .M. ( , pour se donner du courage, demanda unecave à liqueurs, et commença un sonnet de petitsverres. Tout a coup un horrible barbet se précipita dansle café, il était plus crolté que la rue alla sur-le-champ auprès de M. D., etils échangèrent une poignée de pattes. — Ah! dit M. Fréd. , lauteur de la comé-die, voilà le chien de Coltiné. Colline va venir. .Mais on saperçut que le chien portait à soncou un petit papier attaché. On en [irit coimais-sance. Cétait un billet de Coltiné; il prévenaitquétant


Revue pittoresque : musée littéraire . uscrit loruiidable, .M. ( , pour se donner du courage, demanda unecave à liqueurs, et commença un sonnet de petitsverres. Tout a coup un horrible barbet se précipita dansle café, il était plus crolté que la rue alla sur-le-champ auprès de M. D., etils échangèrent une poignée de pattes. — Ah! dit M. Fréd. , lauteur de la comé-die, voilà le chien de Coltiné. Colline va venir. .Mais on saperçut que le chien portait à soncou un petit papier attaché. On en [irit coimais-sance. Cétait un billet de Coltiné; il prévenaitquétant retenu en partie double, il ne fallait paslattendre, mais il envoyait son chien à sa place. Sur lobservation présentée par M. Ars. ,que les chiens possédaient parfaitement le senscritique, lanimal fui placé sur une lable et admisà remplacer son maître. Et la lecture de la comédie a commencé. Le chien de Colline a manifesté son admiralionpar quelques abois énergiques. On lui a offerl un verre


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