. Degas. es valets de pied, sont rendusimpeccablement. Le public de ces hippodromes, outre les lads, les jockeys et les chevaux,consiste en gentlemen parieurs, grandes dames, et autres, mais toujoursen un monde nettement défini ; Degas, avec son observation sagace, lesitue avec une précision absolue. Ce ne peut être que celui des courses,et non un autre. Il faut de toute nécessité, quoique le cheval napparaissepas, faire rentrer dans cette série un important pastel représentant troisjeunes femmes à mi-corps, en toilette d hippodrome, causant sur unbalcon de tribunes. Notons, du maître, une der


. Degas. es valets de pied, sont rendusimpeccablement. Le public de ces hippodromes, outre les lads, les jockeys et les chevaux,consiste en gentlemen parieurs, grandes dames, et autres, mais toujoursen un monde nettement défini ; Degas, avec son observation sagace, lesitue avec une précision absolue. Ce ne peut être que celui des courses,et non un autre. Il faut de toute nécessité, quoique le cheval napparaissepas, faire rentrer dans cette série un important pastel représentant troisjeunes femmes à mi-corps, en toilette d hippodrome, causant sur unbalcon de tribunes. Notons, du maître, une dernière toile de chevaux, dans un genredifférent — il ne sagit plus des élégances du turf — dont le dessm resteaussi infaillible : Chevaux de labour, appartenant à M. Durand-Ruel. Ce quil faut également admirer sans réserve, ce sont les fantastiquesdessins crayonnés à lintention de ces mêmes tableaux de chevaux ; plu-sieurs ont été reproduits dans lalbum publié par Manzi et LA VOITURE AUX COURSES Photo Durand-Ruel.


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