. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . omfeites yolerenlairle chajïeaude ÎOeufà ISiaùlesiie ne \>oudroisVùint ûuey>ùm àejhani^ïez^ de ce-cy,comme de chofe auiy>om ha porté extrême honneur^ ^;ont ce h on Seigneur confejptnt celaejlre ijraysme rej^ondit, le hjohs Prie regdrdez^fi fur celafourriez^ trouuer quelque propos :car i enferay contet,LorSypour ce au aucuns efcriuentjquel ^ujlriche ne couue pointfes œufzy efiant afis comme les autres oifeauxiains accomplit cela en les regarda


. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . omfeites yolerenlairle chajïeaude ÎOeufà ISiaùlesiie ne \>oudroisVùint ûuey>ùm àejhani^ïez^ de ce-cy,comme de chofe auiy>om ha porté extrême honneur^ ^;ont ce h on Seigneur confejptnt celaejlre ijraysme rej^ondit, le hjohs Prie regdrdez^fi fur celafourriez^ trouuer quelque propos :car i enferay contet,LorSypour ce au aucuns efcriuentjquel ^ujlriche ne couue pointfes œufzy efiant afis comme les autres oifeauxiains accomplit cela en les regardant auec lefficace de la lumière de fesyeux:iefgUray t^uf riche majle ^femelle, qui ententi-uemlet contemploient leurs œufz^^^faifoient de leurs yeuxfortir rayons fur le mot ef oit tel, d i v e r s A AB ALIIS VIRTVTE VALEMVS. En ex^ primant par celafon ^unique louange &- fauoir de tinuen*tion de ces machiiiemens fouzterrains ; lefquelz^ auec la-violence du feu font egauxa leffet des furies deuife pleut fort bien au Comte Tierre, ^ laccepta^oluntiers. DO M. DE PAVLO lOVIO. 51. DO M. Certainement, Monfeigneur, yoz^^ujîriches auecleurproprietéy me femhlent auoirferuy de pinceau a, ces troUtreflïuerfei âéïenefayJinjom pourrezjmieux rencontrer aux autres faiBes par yous, qui Vous rejrent encores à dire:^ po^ihle amoindrirez^om en- cor es celles des autres ejfritz^que vous racompterez^. ne fuis pasJi arrogantique ie prefume rien cecy^ nen autre chofe fairefihien, que iepuijje ^-vaincre, non pas feulement mefgaller à linuention des autres efj^ritz^: comme fut celle que iadis porta la première fois le grand J^oXarquts de Tefca- re^quand il alla efire Capitaine gênerai de tous les Cheuaux legiersdaquellefut hïeyeue des ennemis aufaiB darmes de à ou le J^arquispour défendre fa hanniere^fut griefuemn llefé: (^puis ayat efé trouueparmy les morts y m> z 9^ DIAL. DES DEVISES futfaiBprïfonnier des Françoys


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