. Tableau de l'histoire générale des Provinces-Unies. fers. Il allait être vi& dune fentence inique, \orfqueBurg-130lEpoufe allarmée pour lobjet deR^-^r-ibn amour, courut demander fa gra-**™*ce. Le Brutal avait conduit cette J-trame perfide, pour faire fuccomber5^£ jtTla fidélité à la tendreffe conjugale. 11 une infâme victoire. LTE-^,poufe croyant avoir fauve les jours dun mari quelle navait trahi quepar crainte de le perdre, vole à laprifon lui annoncer quil était le fcélérat, afin de fe délivrerdun rival odieux , avait déjà donné fecrets pou


. Tableau de l'histoire générale des Provinces-Unies. fers. Il allait être vi& dune fentence inique, \orfqueBurg-130lEpoufe allarmée pour lobjet deR^-^r-ibn amour, courut demander fa gra-**™*ce. Le Brutal avait conduit cette J-trame perfide, pour faire fuccomber5^£ jtTla fidélité à la tendreffe conjugale. 11 une infâme victoire. LTE-^,poufe croyant avoir fauve les jours dun mari quelle navait trahi quepar crainte de le perdre, vole à laprifon lui annoncer quil était le fcélérat, afin de fe délivrerdun rival odieux , avait déjà donné fecrets pour le faire tous les fentimens douloureuxquéprouva alors cette femme infortu-née ; la fureur prit le deflus. Elleva crier vengeance auprès du Duc,«lie expofe fa trille avanture & la nais- 234 Charles I. eeur de lattentat. Le coupable eftmandé; on loblige à dédommager ceUequil a outrage en lui donnant fa main& toutes fes richeiïes. Il fut enfui teex eu té au môme lieu où il avait faitpérir un innocent. Frédéric III. 235 MARIE, jHsLPrès un mauvais Prince, s*écrie un Tan*.illuftre ancien, le jour le plus beau eftle premier. Quand les peuples furent Comm. ( *) de la mort de Charles, ilc- 10-leur fembla, dit Commines, quils é-talent échappés; ils fe fentirent commefoulages dun fardeau accablant. Leslegards indignés sarrêtèrent avec ef-froi fur les fuites dune ambition ty-rannique. Quel fpe&acle ! des fujetsépuifés, des finances diflipées, une ad-sniniftration chancelante , lorage du- JJjJJJ;ne guerre étrangère, prêt à éclater. pCuPies. Pour remédier à ces maux & conduire tant de vaftes Etats, il ne reliait que 1477Marie, feule enfant de Charles, âgée ^LL% (+) Ils furent long-tons à nofer en croirela nouvelle. Elle était trop flatteufe & ils é-taient trop humilié Suivant les uns, Char-les faifait un pèlerinage à Jerufalem ; dautresfoutenaient quil sétait retiré dans une her-mitage en Allemagne. A Br


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