. Avis au peuple sur sa santé. ;, je nai faitquindiquer le paragraphe où DE LAUTEUR, fe trouve : ainfi quandon lit page 97. §. 50. Quandla maladie ejl telle quelleefi décrite ( §. 4^. ) ^^^ ^S^^fie que pour ne pas répéter ladelcription que jai déjà faite,je renvoie à aller la chercherdans le §. que je cite. Lufao-e de ces citationsneft rien moins que nou-veau , & eit extiêmemenccommode & ailé \ mais n yeût-il quun ledeur qui ducen être embarraffé , je naipas cru devoir omettre cetéclairciiïement j je ne puisefpérer dêtre ucile quau-tant que je ferai clair ^ &lon fent que lenvie dêtre


. Avis au peuple sur sa santé. ;, je nai faitquindiquer le paragraphe où DE LAUTEUR, fe trouve : ainfi quandon lit page 97. §. 50. Quandla maladie ejl telle quelleefi décrite ( §. 4^. ) ^^^ ^S^^fie que pour ne pas répéter ladelcription que jai déjà faite,je renvoie à aller la chercherdans le §. que je cite. Lufao-e de ces citationsneft rien moins que nou-veau , & eit extiêmemenccommode & ailé \ mais n yeût-il quun ledeur qui ducen être embarraffé , je naipas cru devoir omettre cetéclairciiïement j je ne puisefpérer dêtre ucile quau-tant que je ferai clair ^ &lon fent que lenvie dêtre c iv xxxij PREFACE,&c, utile eft le feul motif de cetouvrage. Jai eu depuis afTezlong-temps la fatisfadion devoir que des perfonnes cha-ritables & intelligentes enavoient fait ufage avec unfuccès marqué, même dansdes maladies très - o-raves& je ferai au comble demes vœux , fi je continueà apprendre quil contribueà adoucir les maux & àprolonger les jours de XXXllJ * v%fir xx^4> XX ni » ».%: PREFACE TRADUCTION ALLEMANDE DE M. HIRZEL. |f^| E me difpofois à mefc J *1 livrer aux devoirs im-if^gJ portants que mimpofedepuis peu la place de premierMédecin du canton , que nostrès - gracieux Souverains ontbien voulu me confier, lorfqueM. TifTot me fit préfent de fbnAvis au Peuple fur fa famé ; lefoin de celle de mes compa-triotes fait lobjet le plus eflen-tiel de mon état, mais je voisavec douleur dominer parmieux les erreurs les plus dan- xxxiv PREFACEgereufes, des préjugés funef-tes qui rendent prefque totale-ment inutiles lexercice ôc leseffets falutaires de celui de tousles arts qui importe le plus aufalut de lhumanité. Tout lemonde croit avoir le droit ôcles lumières néceffaires , nonfeulement pour décider fur lapratique de cet art, mais pourdonner des confeils dans lesmaladies, comme fi la fciencedu Médecin nexigeoit pas duplus grand génie même quileûtacquiides connoifTaaces dela plus vafte étendue avant depouvoir


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