. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... 84 - « qu'ici le contour du limbe, n'est ni lancéolé ni oblong, qu'il ne se prolonge i( pas en une pointe pyramidale, mais qu'il est seulement ovale, ellipsoïde, « atténué en coin très obtus vers la base, avec une terminaison supérieure très « arrondie et des dents rares, peu saillantes, le long de la moitié supérieure « du limbe, tandis que la marge se trouve parfaitement entière vers le bas. « La consistance a dû être ferme sinon coriace, la surface lisse et glabre. » La seule différence que l'on peut r


. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... 84 - « qu'ici le contour du limbe, n'est ni lancéolé ni oblong, qu'il ne se prolonge i( pas en une pointe pyramidale, mais qu'il est seulement ovale, ellipsoïde, « atténué en coin très obtus vers la base, avec une terminaison supérieure très « arrondie et des dents rares, peu saillantes, le long de la moitié supérieure « du limbe, tandis que la marge se trouve parfaitement entière vers le bas. « La consistance a dû être ferme sinon coriace, la surface lisse et glabre. » La seule différence que l'on peut relever dans la feuille de Menât, est la denticulation qui descend dans la moitié inférieure, mais avec une tendance marquée à la disparition vers la base du limbe. • Le nombre des nervures est égale- ment un peu plus grand dans notre type, mais il faut tenir compte du fait que la feuille de Menât est beaucoup plus grande que celle de Gelinden ; d'une manière générale, l'écartement des ner- vures est égal de part et d'autre. Nous ne faisons que compléter l'idée première de M. Marty (i) en réunissant le type de Menât sous le même nom spécifique que celui de Gelinden. Comparaison avec les formes VIVANTES. — En ce qui concerne les affinités probables de cette forme avec les espèces vivantes, Saporta revient sur l'idée qu'il avait émise en collabora- tion avec Marion dans la (( Revision de la flore de Gelinden. » Il dit d'abord : « Le Que/eus parce- « serrata offre la plupart des caractères « de forme et de nervation propres aux feuilles de Chine de la section asiatique « Cyclobalanopsis Il est surtout comparable au Q. glauca Thb., au « Q. annulala Sm. Cette ressemblance s'étend à la forme générale du contour, « à la disposition des principales nervures, à la dimension même du pétiole;. Fio. 41. — Quercus tomentosa Willd., (Jardin Rovelli. Lac Majeur, Italie. Herbier Marty.) (i) Marty. — Les Etudes


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