. Journal Francoise 6 jan1906 . helte, qui avaitbien voulu me renvoyer. La dictionest excellente, la prononciation irré-prochable. Elle dit juste et bien, etje lui souhaite tous les bonheursquelle mé bon cœ C. Xaiionaie de Paris, aprésenté à 3Ilfe Saint-Jeau, une su-perbe médaille en élicitations à la jeune artiste. ——4 L« théâtre Français a fait uneheureuse acquisition dans la person-ne de M. lemy qui a réapparu sur la,scène montréalaise dans Ruv Blas,t ne autre artiste remarquable ac-compagnait M. Pcruy. Nous voulonsparler de Mme DIlèncourt, qui estbien
. Journal Francoise 6 jan1906 . helte, qui avaitbien voulu me renvoyer. La dictionest excellente, la prononciation irré-prochable. Elle dit juste et bien, etje lui souhaite tous les bonheursquelle mé bon cœ C. Xaiionaie de Paris, aprésenté à 3Ilfe Saint-Jeau, une su-perbe médaille en élicitations à la jeune artiste. ——4 L« théâtre Français a fait uneheureuse acquisition dans la person-ne de M. lemy qui a réapparu sur la,scène montréalaise dans Ruv Blas,t ne autre artiste remarquable ac-compagnait M. Pcruy. Nous voulonsparler de Mme DIlèncourt, qui estbien la meilleure artiste-femme quenous ayons encore vue. Les succèsdu Théâtre Français lui sont doré-navent assures. • Le Journal de Françoise deNoël et du Jour qe lAn a publiéplus do matières littéraires inéditesque tons les grands journaux quoti-diens mis ensemble, de notre ville» 3*M I„K JOURNAL DE FRANÇOISE FRONTENAC INTIME (x) 1652-1658 Daprès les Mémoires de Mademoiselle de IF abandonnait,lâchait u n elois de plus. duc de Beau-fort, Madâwie deMontbazon, lesconseillers exi-les, bref, ions 1 esbraves gens quiavaient soutenuM, Ernest Mvrand sa -anse et servises intérêts. Du moment quil étaitbien en Cour il ne se souvenait plusde qui avait été banni pour aux morts il les tenait enpariait oubli ; sen iiit-il rappelé,quil eût été capable de les traiterdimbéciles. Aussi Frontenac était inexcusablede croire que lAltesse Royale allaitsintéresser aux pentes ambitionsde sa jeinme et à sa rentrée en grâ-ce. Le jour même de lentrevue quilaccorda à Frontenac il écrivit à safille pour •lassurer quil ne lacontraindrait pas sur le choix dunenouvelle dame dhonneur. Fronte-nac en éprouva un dépit extrême,car il comptait bien que limpérieuxGaston lui ferait reprendre parforce madame de Frontenac. Sans transition apparente laGrande Mademoiselle passa, vis-à-vis de ses anciennes maréchales decamp, hie
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