. Variétés sinologiques. t pu en procurer à ses membres. Pour traiter lesaffaires concernant les funérailles au nom du maître de la maison, etpour recevoir et reconduire les hôtes, on doit inviter des personnes dudehors ; ce sont ordinairement les proches ou les amis de la famille. 2. Au dehors, la famille tait annoncer par la procurede la maison ijjf M tchang-fang (*), aux parents et aux amis,la nouvelle de la mort. Pour cet effet, la procure envoie au do-micile des parents et des amis du mort, une liste ^ $£ ifeU pao-sang (*) Par ce mot, lon entend le ou les régisseurs chargés » 1 *>s aff


. Variétés sinologiques. t pu en procurer à ses membres. Pour traiter lesaffaires concernant les funérailles au nom du maître de la maison, etpour recevoir et reconduire les hôtes, on doit inviter des personnes dudehors ; ce sont ordinairement les proches ou les amis de la famille. 2. Au dehors, la famille tait annoncer par la procurede la maison ijjf M tchang-fang (*), aux parents et aux amis,la nouvelle de la mort. Pour cet effet, la procure envoie au do-micile des parents et des amis du mort, une liste ^ $£ ifeU pao-sang (*) Par ce mot, lon entend le ou les régisseurs chargés » 1 *>s affaires extérieuresdune maison. 78 POLITESSE CHINOISE. tckang (PL XXXVI.), portant le nom de chacun deux. Cette liste,suivant les différents cas, est inscrite sur un papier de couleurs différen-tes : de couleur blanche, si le mort est le maître de la maison ; grisej^C Ê kon-ché, ou 7c ^ yuen-ché, si le mort est de même degré que lemaître de la maison, cest-à-dire, sa femme, ses frères, ses sœurs etc. ;. PL XXXV.—Famille en deuil,enfin, si le mort est un inférieur, le papier serait de couleur bleu clairH !$Ê. yuè-lan. Les pao-sang tchangs ont tous écrits en lettres Celui à qui la nouvelle de la mort est ainsi officiellemenldonnée, à moins quil ne soit proche parent du défunt, ou encore quuneraison toute spéciale ne loblige daller en personne à la demeure dudéfunt ~4f îÊ pen-sang, ^ -^ tiao-sang, celui-là, dis-je, est libre (H.\r. XIV. DES FUNÉRAILLES. 70 de faire cette visite, ou de Ben abstenir; de même, sil se détermine Scette démarche, il est libre daller le jour de la mise en bière A $Stjou-kien, ou plus tard, le joui où la famille reçoit officiellement lesvisites do condoléance <pH (lift Ung-tié. Mais lorsque quelquun estaverti officiellement fin décos, il faut dès lors quil envoie à la familledu défunt un cadeau, comme expression do la part quil prend à sadouleur j$ fâ foit-i, ^ H$ tiao-i, (fè H tchoei-i, po


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