Le théatre de Voltaire . in de la voix 8c des yeux ;Il méchappe , Si foudain jentends des cris affreux 5Jentends dire , quil meure : on court ? en vote aitf& , Madame , &. fuyez tant dalarmesRentrez» ALZIRE, Ah 1 chère Émire ? allons le fçwiuk* tgô AL Z I r e; EMIRE,Que pouvez - vous ? Madame , ô ciel lALZIR fe. Je peux mourir SCENE VIL ALZIRE , ÉMIRE , D. ALONZE , Gardes; A L O N Z E, A >Me S-ordres fecïets ? Madame , il faut voirsrendre- me dis-tu , barbare, & que viens-tu map* prendre ?Queft. devenu Zamore ? ALONZE. En ce moment affreux JJe ne puis quannonce
Le théatre de Voltaire . in de la voix 8c des yeux ;Il méchappe , Si foudain jentends des cris affreux 5Jentends dire , quil meure : on court ? en vote aitf& , Madame , &. fuyez tant dalarmesRentrez» ALZIRE, Ah 1 chère Émire ? allons le fçwiuk* tgô AL Z I r e; EMIRE,Que pouvez - vous ? Madame , ô ciel lALZIR fe. Je peux mourir SCENE VIL ALZIRE , ÉMIRE , D. ALONZE , Gardes; A L O N Z E, A >Me S-ordres fecïets ? Madame , il faut voirsrendre- me dis-tu , barbare, & que viens-tu map* prendre ?Queft. devenu Zamore ? ALONZE. En ce moment affreux JJe ne puis quannoncer un ordre rigoureux,Daignez me fuivre» A L. Z 1 R E, O fort ! ô vengeance trop forte !^Cifiiel, quoi ce ncft point U moxt que lon map*pmrte ? TRAGEDIE. 297 Çuoi ! Zamore neft plus ! & je nai que des fers (Tu aémis , & tes yeux de larmes font couverts ,Mes maux ont - ils touché les coeurs nés pour la haine ?Viens , fi la mort mattend , viens , jobéis fans peine. Fin du quatrième aâ 298 A L Z I R E. ^C• |iËL ? .- Ësftgg--agïâ 3# A G T E V. SCENE PREMIERE, A L 2 I R E , Gardes,A L Z I R E*P A REPAREZ-VOUS pôUT ffiôi VOS fupplfce{ cruels ,Tyrans , qui vous nommez les Juges des mortels ?Laifïèz-vous dans lhorreur de cette inquiétudeI>e mes deitins îfffr-eux flotter lincertitude ?On marrête , on me garde , on ne sinforme pas ;Si lon a réfolu mavie ou mon tré voix nomme Zamore , & mes gardes pâli A sémeut à ce nom : ces monftres en fré fent, 2Ç9 A IL M O N T È Z E , ALZ1RE,A LZIR E. H mon mon prère ! M O N T È Z E. Ma £lle , où nous as-tu réduits ?Voilà de ton amour les exécrables élas ! nous demandions la grâce de Zamore 4Alvarès avec moi daignait parler encore :Un foldat à linflant fe préfente à nos yeux. ? Cétait Zamore même , égaré , ce déguifement la vue était trompée ;A peine entre fes mains japperçois une épé , voler vers nous , sélancer fur G
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