Traité de chirurgie . cercle veineux de liris,par le même mécanisme, lorsquun corpsétranger logé dans la partie antérieure ducorps ciliaire détermine lirritation de cetterégion. Cette dernière source serait la plusfréquente, daprès Strohmeyer. Les signes par lesquels se révèle lhypo- p,^ ^. _ Hypopyon. pyon ont été déjà indiqués à propos de liritis. Au début, lépanchement forme un étroit croissant jaunâtre à la par-tie inférieure de la chambre antérieure et il faut, à cette période, se servir deléclairage oblique pour le distinguer de linfiltration purulente du limbe de lacornée autrefois dési
Traité de chirurgie . cercle veineux de liris,par le même mécanisme, lorsquun corpsétranger logé dans la partie antérieure ducorps ciliaire détermine lirritation de cetterégion. Cette dernière source serait la plusfréquente, daprès Strohmeyer. Les signes par lesquels se révèle lhypo- p,^ ^. _ Hypopyon. pyon ont été déjà indiqués à propos de liritis. Au début, lépanchement forme un étroit croissant jaunâtre à la par-tie inférieure de la chambre antérieure et il faut, à cette période, se servir deléclairage oblique pour le distinguer de linfiltration purulente du limbe de lacornée autrefois désignée sous le nom donyx. Lorsque lépanchement est plusconsidérable, il est plus facile à reconnaître et son bord supérieur prend unedirection horizontale. Les changements de position du globe oculaire font varierla situation de lhypopyon. Lorsque le malade est couché sur le côté correspon-dant, on voit lhypopyon occuper la partie inféro-externe de la chambre anté- [E. 180 MALADIES DU CRISTALLIN. rieure. Dans les mouvenienls hrusques de lœil, il arrive parfois que touteIhumeur aqueuse devient tiouble jiar (litïiision du pus. Souvent aussi Tépan-chemenl est plutôt plasticpie (|iio purulent et i)résente alors une fixitéremarquable. L hvpopvon. au début, est susceptible de se résorber, lorsque lafTection quilui a donné naissance est convenablement traitée. 11 est fréquent dobservercelte résorption dans les inflammations de liris, dès quon a institué les instil-lations datropine et les lavages antiseptiques. Lusage dun collyre au sublimépassait à juste titre, autrefois, comme propre à amener la résorption du pus. Lorsque lépancliement est très considérable, il faut lévacuer par une ponc-tion faite à la partie inférieure de la cornée. On la pratique avec un couteautriangulaire ou avec le couteau de de Graefe. Si le pus est liquide, il sécouleimmédiatement. Lorsque le pus se trouve mélangé à des exsudais
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