. Quatre siècles . parMonsieur Boutiny, ministre ordinaire au catéchisme dudimanche, 10/20 avril 1698, Monsieur Théodore Planta-mour, mon beau-frère, layant présenté pour Monsieurson père, sous le nom de Jean Cazenove ». Le second filsse nomma Philippe, il naquit à Genève, le 28 février 1701,épouse le 9 octobre 172g, Sara Prévost, puis, le 1^ maii^So, Camille Brechtel. Il mourut en Hollande, en i749- Puis vinrent : Henriette, née à Genève, le 19 juin 1702,qui se fixe à Gènes en 1721, avec son mari, Pierre Mazel ;Marie, morte à lâge de 4 ans ; Florence et Françoise, mor-tes en bas-âge ; Théophi
. Quatre siècles . parMonsieur Boutiny, ministre ordinaire au catéchisme dudimanche, 10/20 avril 1698, Monsieur Théodore Planta-mour, mon beau-frère, layant présenté pour Monsieurson père, sous le nom de Jean Cazenove ». Le second filsse nomma Philippe, il naquit à Genève, le 28 février 1701,épouse le 9 octobre 172g, Sara Prévost, puis, le 1^ maii^So, Camille Brechtel. Il mourut en Hollande, en i749- Puis vinrent : Henriette, née à Genève, le 19 juin 1702,qui se fixe à Gènes en 1721, avec son mari, Pierre Mazel ;Marie, morte à lâge de 4 ans ; Florence et Françoise, mor-tes en bas-âge ; Théophile, né à Genève, le i^^ mars 1708,mort en 1760, et enfin David, né le 3o mars 1711, mort enAngleterre, le 2 mars 1782. De cette nombreuse postérité, il ne resta de descendantsen ligne masculine, que de trois de ses membres : Jean,ancêtre de la branche américaine ; Théophile, de la bran-che française, David, de la branche anglaise. Avant de commencer létude des branches dAmérique et. JEAN CAZENOVE1730 — lai — dAngleterre, pour terminer par le rameau dont noussommes personnellement issus, nous raconterons la des-tinée de Philippe et de ses enfants. Ce dernier était un fort joli homme, dune figure ouverte,encadrée par une perruque châtain, avec des yeux vifsdans des traits réguliers. Il soccupa des affaires de samaison, avec son associé Pierre Mazel, jusquen 1788, oùil rompit lassociation. Il épousa à celte époque Sara Pré-vost, fille dun bourgeois de Genève très fortuné. Cettenoce fut très brillante. « il y eut 32 convives attablésdans la grande salle Prévost, » dit le livre de Raison. Leconjoint apportait en dot de écus blancs et sa Par malheur, trois jours après la fêle, la jeunefemme salita et mourut. Peu après, Philippe se remaria : il épousa Camille Brech-tel, fille de Jean Brechtel, du conseil des C. C. et de Fran-çoise Dansse, dune famille anoblie au xvi® siècle dans leservice de Venise. S
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