Traité pratique de bactériologie . de Diplobacillede la conjonctivite (fig. 90). Axenfeld (6) arrivait presque en mêmetemps à la même conclusion. (1) Grûnwald et , Studien ûber den bakteriellen Anteil an der Produk-liou der Ozœna-Syndromes {Centralbl. fur Bakt., 1 Abth., Orig., LX, 1911,p. 337). (2) Weeks, Der Bacilius des akuten Bindehaiitcatarrhs {Arch. fur Augenheilk.,XVII, 1887, p. 318). (3) Kartulis, Zur Aetiologie der agyptischen catarrhalischen Conjunctivitis (Cen-tralbl. fur Bakt., I, p. 289). (4) Morax, Ileclierches bactériologiques sur rétiologie des conjonctivites aiguë


Traité pratique de bactériologie . de Diplobacillede la conjonctivite (fig. 90). Axenfeld (6) arrivait presque en mêmetemps à la même conclusion. (1) Grûnwald et , Studien ûber den bakteriellen Anteil an der Produk-liou der Ozœna-Syndromes {Centralbl. fur Bakt., 1 Abth., Orig., LX, 1911,p. 337). (2) Weeks, Der Bacilius des akuten Bindehaiitcatarrhs {Arch. fur Augenheilk.,XVII, 1887, p. 318). (3) Kartulis, Zur Aetiologie der agyptischen catarrhalischen Conjunctivitis (Cen-tralbl. fur Bakt., I, p. 289). (4) Morax, Ileclierches bactériologiques sur rétiologie des conjonctivites aiguëèse de Paris, 1895. — Recherches expérimentales sur le Bacille de la conjonctiviteaiguë contagieuse (Bacille de Weeks) {Ann. docalist., CXXI, 1899, p. 42|. (5) Morax, Note sur un Diplobacille pathogène pour la conjonctive luimaine [ VInst. Pasteur, X, 1896, p. 337). i6) Axenfeld, Ueber die chronische Diplobacillenconjonctivitis (Cen/raZii. fiir Bakl.,XXI, 1897, p. ]). BACILLE DE LA CONJONCTIVITE CHRONIQUE. 379. Fig-. 89. — 13acille de Weeks dans du pus de conjonctivite mais bien sur les mi- Ces bâtonnets sont immobiles; ils ressemblent beaucoup au Pnei/mo-bacille, mais ne mon-trent jamais de cap-sule, daprès Morax ;on pourrait leur enreconnaître , daprèsAxenfeld. Ils se colorent faci-lement aux couleursdaniline et se décolo-rent par la méthodede Gram. On les trouve sou-vent en grande quan-tité dans la sécrétionconjonctivale, surtoutprise au niveau de lacaroncule lacrymale,libres ou inclus dansles globules de pus etles cellules épithé-liales desquamées. Ils ne se cultiventpas sur les milieux de culture ordinaires, bouillon, gélose ou gélatinelieux divers addition-nés dun tiers de sé-rum ou de sérositéhumaine ou ani -maie (I). Sur gélose au sé-rum, on voit, aprèsvingt-quatre heures àlétuve, se développerde nombreuses colo-nies transparentes,grisâtres, assez sem-blables à celles queforme le Pneumoco-que, mais un peu plusopaques. A


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