. Second voyage à la Louisiane, faisant suite au premier de l'auteur de 1794 à 1798 [microforme] : contenant un mémoire sur la découverte du coton animal, un manuel botanique à l'usage des jeunes colons, un dictionnaire ou vocabulaire Congo, précédé d'une statistique des comptoires de la côte d'Angole, le tout utile aux Américains cultivateurs .... Plantes; Plants. ) es coloniales, n'ont mal, à l'abri même e. Nous n'avons mal- 5té victimes de cette nécessité y avait-il, de désorganiser les as toujoars le temps înir, de ces climats gers ? Mais il faut ce n'est yàs l'inté- é mêm
. Second voyage à la Louisiane, faisant suite au premier de l'auteur de 1794 à 1798 [microforme] : contenant un mémoire sur la découverte du coton animal, un manuel botanique à l'usage des jeunes colons, un dictionnaire ou vocabulaire Congo, précédé d'une statistique des comptoires de la côte d'Angole, le tout utile aux Américains cultivateurs .... Plantes; Plants. ) es coloniales, n'ont mal, à l'abri même e. Nous n'avons mal- 5té victimes de cette nécessité y avait-il, de désorganiser les as toujoars le temps înir, de ces climats gers ? Mais il faut ce n'est yàs l'inté- é même des esclaves lin intérêt criminel qui, pour en venir , ont jugé à propos par tout indiflPérem- is de mal et piller et n'oublions jamais evons ; le temps est ^parer en partie nos iposition du conseil inistre de la marine »nner lieu à un cours irasser toutes les par- ipprofondies toutes, qui va so former de ns Colons. A chaque ( 549 ) înstant les Européens seront à même d© sentir les grandes différences , et d'aper- cevoir même les nuances qui subsistent san» qu'ils s'en doutent, entre les principes qu'ils imaginent, et ceux qui conviennent réelle- ment aux Colonies. Ils ne croiront plus quf> les Colons exagéraient , et loin de le» croire exaltés, ils seront même surpris do la modération qu'ils ont mise dans la crise la plus épouvantable qui puisse arriver aux? hommes sensibles. Ces malheureux Colons ont: ressenti les premiers, le choc inexpri- mable de la révolution ; ils en ont essuyé ce qu'elle a de plus horrible, et leurs maux ne sont pas encore près de finir ! Est - il doinç 4es êtres plus intéressons dans la na- ture ? et le gouvernement qui commence à jeter des regards favorables sur eux, n'an-: nonce-t-il pas qu'à la fin, sa justice et seS; Ij^ienfaits vont aller secourir les malheureux quelque soit leur éloignement ? Relevez votre courage. Colins i
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