. L'illustration : journal universel . -pissent plus ou moins, et dontfa pièce encadre premier, cest le noir Saiil-Abd-Allah. Jamais éc lnp|ié duCongo, de Benguela ou de lacôte de Sonégainbie noffrituiiecarnalion plus lustrée, deslèvres plus saillantes, un nezmieux compiiiné : cest le nègrepur-sang; il est tout laine etcrêpe, ra:iis cest à peinesil se tient sur ses deux pat-tes de devant, il ne sait pasmarcher, il ne sait pas chan-ter, quoiquil sen pique; sonregard est stupide, son sourireféroce; il e;t évident, quense deslinanlaux plaisirs du pu-blic, ce noir abusé se voue àune


. L'illustration : journal universel . -pissent plus ou moins, et dontfa pièce encadre premier, cest le noir Saiil-Abd-Allah. Jamais éc lnp|ié duCongo, de Benguela ou de lacôte de Sonégainbie noffrituiiecarnalion plus lustrée, deslèvres plus saillantes, un nezmieux compiiiné : cest le nègrepur-sang; il est tout laine etcrêpe, ra:iis cest à peinesil se tient sur ses deux pat-tes de devant, il ne sait pasmarcher, il ne sait pas chan-ter, quoiquil sen pique; sonregard est stupide, son sourireféroce; il e;t évident, quense deslinanlaux plaisirs du pu-blic, ce noir abusé se voue àune lâche ingrate. La négresse^tune muUilresse foncée, quis attife assez gentiment en Pa-risienne quelle est peut-être;quant au négrillon, de la mêmenuance, il peut grandir pourla civilisalion et le vaudeville,,et lon sait que ces petitsanimaux, quand on les prendjeunes, sont facilement appri-Toisés. Certainement, les noirssont pleins dintelligence etpignes de rivaliser avec ksblancs; quelqius personnes, la comédie. c de Vincenneç. — Lavinue des Hommes- dominicale. Ces sortes de nièces, qui se glissent ain^i dansombre du dimanche, ne (lisent ordinairement r en de bonUne jeune fille qui ht des romans, mais qui ne sait pas leslire comme il faut, a pris le ma-riage en haine, et mademoi-selle fait le vœu de rester détermination , quoiqueoriginale, nest pas impossi-ble ; mais mademoiselle a unamant quelle chérit, circon-stance qui sarranye mal avec1 autre ; bien plus, lamant con-fie à sa mie. quif aime uneautre belle et va lé confidence jette la de-moiselle dans lenchantement.« \ ous épousez llorlense, quelbonheur! Vous êtes un hommecharmant. » Voilà ce que ditla petite folle, et alors on nycomprend plus rien ; mais lepère fait si bien, avec savieille expérience, et lamantavec sa passion pleine dimpa-tience, que lhymen reprendcelte belle proie prête à luiéchapper. Ceci nous représente,ou peu sen faut, Un vœu dejeun


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