. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. sr>o sTnU('.Trr»K m: i. AMiiKiir. i:t dt i' iiilrnic jx'iil rester (•elliil()si(nie liti". IOTjS,/ , coiuiiie l'iiiliiie V (ilTelIe fecoiixre MiiUacées;. Dans le pollen ('•cliiinili'' de la (îoiii'^'e li^". 1053, I), l'(!.\iiie. lolalenieiil ciilinisée, man(iue le ion^" d'un cerlain nond)re de lignes ciicnlaifes, qui déliinilenl autant de couxercles d'exiiie
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. sr>o sTnU('.Trr»K m: i. AMiiKiir. i:t dt i' iiilrnic jx'iil rester (•elliil()si(nie liti". IOTjS,/ , coiuiiie l'iiiliiie V (ilTelIe fecoiixre MiiUacées;. Dans le pollen ('•cliiinili'' de la (îoiii'^'e li^". 1053, I), l'(!.\iiie. lolalenieiil ciilinisée, man(iue le ion^" d'un cerlain nond)re de lignes ciicnlaifes, qui déliinilenl autant de couxercles d'exiiie («). Au début de la ficrniinalion, ces couvercles sont soulevés par l'intine en voie d'cixpansion ; cette dernii're nienihrane otïVe, en cori'cspondance'avec eux, des épaissis- sements cellulosicjues, qui. dislendus jiar la j)ression inté- rieui'e, font alors liei'uie au dehors, en s'aniincissanl petit à petit, et alimentent ainsi la cr'oissance du tube Pollen composé — Il peut se pruduiie des arrcis de développement au cours de la fonnation des grains de pollen. Dans ce cas, les grains de pollen, au lieu d'être libres dans l'anthère mûre, restent unis en petits groupes, enfermés dans une membrane commune : le pollen est alors dit composé. Ainsi, dans diverses Orchidées, dans la Bruyère, la membrane de chaque cellule mère ne se gélifie que très incomplètement; de sorte qu'une fois les cellules mères isolées les unes des autres, chaque tétrade de grains de pollen reste incluse dans la portion restante de membrane de la cellule mère. Ailleurs, au lieu de simples tétrades, ce sont des groupes de tétrades qui forment corps [0- phryde) ; ailleurs encore (Asclépiadées, certaines Orchidées;, tous les grains d'un sac, ou d'une moitié d'anthère (fig. lOijT;, restent associés en un amas ovoïde, de consistance mucilagineuse, nommé pollinie. Les poUinies des Orchidées se prolongent d'ordinaire vers le bas en manière de
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