. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 332. FiG. 3-4. FiG. o-O. Pleclo[iylis Françoisi, grossi 1 fois 1/2. Plectopylis Giardi, grossi 1 fois 1/2. P. Gimxli (fig. 5 et 6) a l'ombilic proporlionnellement plus étroit que P. Françoisi (fig. 3 et 4) et ses premiers tours sont moins à découvert au fond de l'ombilic ; son dernier tour est plus arrondi ; enfin sa taille est plus forte. Les différences les plus saillantes sont fournies par l'arma- ture interne : chez P. Giardi, les lamelles palatales 2 et 6 sont sensiblement plus courtes ; les lamelles 2 et
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 332. FiG. 3-4. FiG. o-O. Pleclo[iylis Françoisi, grossi 1 fois 1/2. Plectopylis Giardi, grossi 1 fois 1/2. P. Gimxli (fig. 5 et 6) a l'ombilic proporlionnellement plus étroit que P. Françoisi (fig. 3 et 4) et ses premiers tours sont moins à découvert au fond de l'ombilic ; son dernier tour est plus arrondi ; enfin sa taille est plus forte. Les différences les plus saillantes sont fournies par l'arma- ture interne : chez P. Giardi, les lamelles palatales 2 et 6 sont sensiblement plus courtes ; les lamelles 2 et 3 sont plus trans- verses, moins obliques; la dent pariétale bi est moins oblique (fig. 4 et 6) ; son extrémité supérieure (c'est-à -dire l'extrémité tournée vers la spire) est anguleuse (tandis qu'elle est arrondie chez P. Françoisi). La dent pariétale c et le tubercule x intermédiaire entre les lamelles pariétales 5 et 6 (fig. 1) manquent chez P. Giardi. Les fig. 4 et 6, représentant les coquilles en partie brisées pour laisser apercevoir la dent pariétale antérieure bi, montrent que l'armalure interne est plus rapprochée de l'ouverture chez P. Giardi que chez P. Françoisi. On peut se demander si certaines de ces différences ne tiendraient pas à un état plus ou moins avancé de l'épaississement des dents : cette supposition est bien improbable car l'obliquité des dents ne pourrait guère se modifier dans le cours de leur accroissement et d'autre part c'est justement l'espèce dont les productions calleuses sont relativement minces, qui possède le plus de dents. La présence de deux dents pariétales transverses bien développées est un caractère assez rare chez les Plectopylis : on l'observe par exemple chez P. brachyplecta Benson, (Birmanie) et chez P. biforis Heude (Chine), deux espèces qui sont d'ailleurs bien diff"érentes de P. Giardi et de P. Françoisi. Je lais
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