. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. Dr BORDIER. â TRAITEMENT PAR L'ÃLECTROLYSE DES RÃTRÃCISSEMENTS 425 sonde en gomme destinée à protéger les parties de l'urètre sur lesquelles ne devait pas porter l'électrolyse. Ces auteurs avaient d'abord adopté un mandrin. Via. 6. mince de maillechorl. à renflement terminal olivaire ; mais ils remplacèrent ensuite l'olive par un cylindre de u2 à 3 centimètres de long, dans le but d'agir latéralement sur une plus grande étendue, et, au lieu d'une tige rigide, ils employèrent un faisceau de fils métalliques tordus possédant plus de sou
. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. Dr BORDIER. â TRAITEMENT PAR L'ÃLECTROLYSE DES RÃTRÃCISSEMENTS 425 sonde en gomme destinée à protéger les parties de l'urètre sur lesquelles ne devait pas porter l'électrolyse. Ces auteurs avaient d'abord adopté un mandrin. Via. 6. mince de maillechorl. à renflement terminal olivaire ; mais ils remplacèrent ensuite l'olive par un cylindre de u2 à 3 centimètres de long, dans le but d'agir latéralement sur une plus grande étendue, et, au lieu d'une tige rigide, ils employèrent un faisceau de fils métalliques tordus possédant plus de sou- plesse, ce qui constituait un grand avantage pour opérer dans la partie courbe de l'urètre. Le manuel opératoire était le suivant : après avoir fixé l'électrode positive spongieuse sur la cuisse du malade, l'électrolyseur urétral, recouvert de la sonde protectrice, était amené contre la face antérieure du rétré- cissement. On fermait alors le circuit, puis on poussait légèrement le mandrin qui faisait porter l'action électrolytique d'avant en arrière et latéralement. En poussant de temps en temps la sonde sur le mandrin, de façon à n'en lais- ser saillir qu'une faible partie, on limitait à volonté la durée de l'applica- tion et, par suite, la profondeur de l'action électrolytique latérale, celle d'avant en arrière continuant sans interruption. On laissait agir le courant jusqu'à ce que la sonde put passer par-dessus le renflement terminal du mandrin. Malheureusement, on ne trouve pas indiqués, dans le mémoire de Mal lez et Tripier (1), de renseignements sur l'intensité employée ; ils disent simplement comme indications qu'ils se servaient d'une pile composée de douze petits couples au bisulfate de mercure associés en tension. De plus, ils n'évitaient pas les périodes variables de fermeture et de rupture, ne possédant pas de rbéostat, ni m
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