Tableau du siècle . un fen-timent fî déraifonnable v voptsélever contre quelques traitsfrapans de certains tableaux ré-pandus dans ce Volume. Quilssefcriment tout à leur aife & deleur mieux, pour prouver quelAuteur eit un medifant , uncalomniateur même, sils le veu-lent, je ne leur répondrai quenleur difant , que je nai eu inten-tion doiïenfer perfonne , mes portraits font fous desnoms empruntés, oc quil ne pa-raîtra jamais de- clef , pouraprendre quel était- Tigehus ouFlorimont. Jajouterai quà lexcep-tion des perfonnages tels queMaximiui, S ci pion 3 Mondor , &c. quejai voulu fai
Tableau du siècle . un fen-timent fî déraifonnable v voptsélever contre quelques traitsfrapans de certains tableaux ré-pandus dans ce Volume. Quilssefcriment tout à leur aife & deleur mieux, pour prouver quelAuteur eit un medifant , uncalomniateur même, sils le veu-lent, je ne leur répondrai quenleur difant , que je nai eu inten-tion doiïenfer perfonne , mes portraits font fous desnoms empruntés, oc quil ne pa-raîtra jamais de- clef , pouraprendre quel était- Tigehus ouFlorimont. Jajouterai quà lexcep-tion des perfonnages tels queMaximiui, S ci pion 3 Mondor , &c. quejai voulu faire connaître , parceque javais du bien à dire deux 5les autres font enveiopés de ma-nière quil eit fort difficile de lesnommer fans rifquer de tomberdans Terreur. Dailleurs les ta-bleaux ks plus chargés font de xxïv P RE FACEmon invention , tant pis pourceux qui voudraient fêles attri-buer. 11 nont quà fe corriger >ce ne fera plus deux quon par-lera , puifque leur nom neit pasindiqué.. T&BLI — ^**£f ®+ *E3!51iI]£ t1£|:ïi| ^ÉIlBB-t- 4-3 = ^*:--° =H = 3 t ? 5)@1 il ? £ls XJ-l¥Â4-ilil] _a, g g j[ [p g ç ^ g jjfnç g »jj a H.ïli cî:? , •* TABLEAUDU SIECLE. DE LA RELIGION, J^î^jjf ï lon confidere la Religion%% S lî comme Chrétien, on gémit;\t++*$$ H on la voit en Philoibphe ,fc^fxtrWç on ne fe plaint point ; fi on lenvifage en Politique, on efl Chrétien, lextincf ion preiquegénérale de la foi- efl un fujet de lar-mes ; comme Philofophe , lindifféren-ce pour tous les motifs qui déterminent? au bien, autres que lamour du bien enlui-même, étouffe la plainte du méprisde la loi ; comme Politique, les avan-tages que le public & le particulier re- A tirent de lextérieur du culte, prévalentfur ce qui en ell lefprit & la véritableellence. Ceiï Tous ces trois points devue que lon regarde aujourdhui la Re-ligion. Les vais Croyans font peucommuns, les Philofophes font plusrares , les Politiques font qui p
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