. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃANCE DU 10 MAI 1003 dans l'aorte et dansla pulmonaire. Or, s'il est possible d'estimer la durée totale des deux périodes en mesurant l'intervalle qui sépare le pied de la ligne d'ascension ventriculaire de la fin du plateau systolique, par contre, on ne peut guère préciser leur durée respective faute d'un repère qui témoigne sur le cardiogramme du moment où s'ouvrent les valves semilunaires. Les physiologistes ont pu évaluer la durée de la période de tension chez l'animal, mais les chiffres qu'
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃANCE DU 10 MAI 1003 dans l'aorte et dansla pulmonaire. Or, s'il est possible d'estimer la durée totale des deux périodes en mesurant l'intervalle qui sépare le pied de la ligne d'ascension ventriculaire de la fin du plateau systolique, par contre, on ne peut guère préciser leur durée respective faute d'un repère qui témoigne sur le cardiogramme du moment où s'ouvrent les valves semilunaires. Les physiologistes ont pu évaluer la durée de la période de tension chez l'animal, mais les chiffres qu'ils ont donnés pour la période corres- pondante chez l'homme sont quelque peu arbitraires, car ils ont été. Fig 1. Tracés comparatifs du choc du cÅur et delà carotide: a, soulèvement auri- culaire ; , ouverture des valves semilunaires. obtenus en retranchant, du temps qui s'écoule entre le début de la sys- tole et le battement carotidien, le temps employé par l'onde pulsatile pour se propager de la racine de l'aorte à la carotide. Cet intervalle ne pouvant être apprécié que d'une manière approximative,ilen résulte que les auteurs trouvent pour la durée de lapériode de tension chez l'homme des chiffres sensiblement différents. C'est ainsi qu'elle mesure pour Landois (1) à peu près 8 centièmes de seconde et demi et qn'elle oscille pour Fredericq et Nuel (2) entre A et 7 centièmes de seconde. Ayant recueilli de nombreux cardiogrammes sur l'homme, il m'a été (1) Landois. Traité de Physiologie, p. 91, Paris, 1893. (2) Fredericq et Nuel. Ãléments de Physiologie humaine, 1910, p. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original Société de biologie, Paris; Société de biologie, Paris. Comptes
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