. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . rentre.) VILLE DE BRUXELLES - STAD BRUSSEIArchives - ArcMef ( ^7 ) ^ SCENE XV. UN GARDE DUCORPS, UiN CHASSEUR DE LA GARDE •NAT10;NALE, UiN GRENADIER DE LA GARDE. LE CHASSEUR, LE GRENADIER, LE GARDE - DU - CORPS , se tenant enlacés. Air : De la Treille de sincérité» Ah ! quelle étais bien sur , mes chers amis ,Quun jour nous serions réunis, LE CHASSEUR. Quan<l de la discorde fatale ,Nous repoussions ici les cmjps ,Loin dés murs de la capitale .Chers compagnons , que faisiez-vous ? L


. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . rentre.) VILLE DE BRUXELLES - STAD BRUSSEIArchives - ArcMef ( ^7 ) ^ SCENE XV. UN GARDE DUCORPS, UiN CHASSEUR DE LA GARDE •NAT10;NALE, UiN GRENADIER DE LA GARDE. LE CHASSEUR, LE GRENADIER, LE GARDE - DU - CORPS , se tenant enlacés. Air : De la Treille de sincérité» Ah ! quelle étais bien sur , mes chers amis ,Quun jour nous serions réunis, LE CHASSEUR. Quan<l de la discorde fatale ,Nous repoussions ici les cmjps ,Loin dés murs de la capitale .Chers compagnons , que faisiez-vous ? LE GARDE DU CORPS. Jnsques dans sa noble retraite ,Jai suivi le meilleur des Rois, LE GRENADI £R. Moi, , je viens lui payer ma dette yNe faisons plus quun tous les trois. TO u s T R o I s. Ah ! quelle ivresseEnchanseresse. etc. LE CHASSEUB. Ah ! ça inespéré que ça ne va pas se passer comme cela, etque nous allons célébrer le verre à la main une aussi bonnerencontre. LE G A R DE DU CORPS. Cest bien comme je Tentends et cVst moi qui régale. LE GRENADIER. Non, cest SCENE précédens , LABONDE , arrwant doucement. L AB OND E. Ce n^estpersonne>messieurs, personne^ LES TROIS* Comment persontiev ( ^S) r A C O ]V DÉ. Que moi, messieurs, faites-moi lamitié de jetter les yeux«ur mon enseigne et vous verrez. LE c*H A s s E u II 5 ! vous êtes un brave à ce quil me parait , monvieux. L A B G N D E. Je fus lun autrefois et je suis aujourdhui lautre. LE GABDEDUCORPS. Allons, allon?, du vin, mais à condition que nous auronsnotre tour. L A B O ND E. Messieurs cest bien de lhonneur, mais jaccepte. LE GRENADIER. A la bonne heure. LA BON D E. Je vais vous chercher de mes plus vieilles bouteilles, legrÊ, et nous ten donneroris des nouvelles. Canojv de Berton. Oui, cainarades, Buvon^asades ,A la sâDlé de notre roi,Cest un Louis de bon aloi,Cest un Bourbon , sa loiFera le bien de toi, De moi , de toi,Chantons tous à jamais , chanto


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