Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . t. (?) Voy., plus haut, la relation de , p. 200. RENSEIGNEMENTS DONNÉS PAR LES HABITANTS DE TUCOIMA. 491 Espérance, la Nouvelle-Guinée, et lîle de Waggiou, près de la terre des Papous. Le 4 septembre,on arriva à Bourou (?) ; le 16, on fil voile pour Java. DAurilieau tomba dangereusement malade, et futremplacé par de Rossel. Le 28 octobre, les


Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . t. (?) Voy., plus haut, la relation de , p. 200. RENSEIGNEMENTS DONNÉS PAR LES HABITANTS DE TUCOIMA. 491 Espérance, la Nouvelle-Guinée, et lîle de Waggiou, près de la terre des Papous. Le 4 septembre,on arriva à Bourou (?) ; le 16, on fil voile pour Java. DAurilieau tomba dangereusement malade, et futremplacé par de Rossel. Le 28 octobre, les deux frégates mouillèrent à Sourabaya (île de Java), etfurent prises par les Hollandais, alors en guerre avec la France. Après quelques mois, on rendit laliberté aux équipages. Les tourmentes politiques de lEurope interrompirent les recherches oflicielles. Par intervalles, desnavires qui avaient traversé lOcèanie rajiportaient des bruits incertains, recueillis dans les îles, sur lesort présumé de la Pérouse. Mais il était réservé au capitaine Pcters DiUon, commandant le vaisseaude la Compagnie des Indes the Resenrch, de jeter le premier, sur ce douloureux sujet, une triste lu-mière qui mit fin nux iipe de Vanikoro. — Daprôs Dumoiil dUrvillc. En 1826, le capitaine Dillon, dans un voyage à lîle de Tucopia (-), voisine de larchipel de Viti ouFidji, avait acheté dtui naturel de celle île une poignée dépée : il crut y~ reconnaître des chithes quiavaient pu appartenir à la Pérouse; il fit des questions aux naturels, et, grAce à la connaissance quilavait du langage de ces insulaires, il apprit que celte poignée dépée et un grand nombre de chevillesen fer, haches, couteaux et autres objets qui se trouvaient entre leurs mains, venaient dune île assezéloignée, quils appelaient Miilkolo ou Manwulu {nms dont le véritable nom est Vanikoro) (), prés delaquelle deux grands vaisseaux avaient fait naufrage, lorsque les vieillard


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