Traité de médecine et de thérapeutique . OGIE. — DÉVELOPPEMENT OU ÉVOLUTION. — LAs-caride lombricoïde, le Ver lombric des gens du monde, est connudepuis la plus haute antiquité. Cest rEXjjuvç hippocratique, leLumbricus teres ou L. longus et rotundus, des anciens médecinslatins. Il est cylindrique plus aminci en avant et moins en arrière (fig. 48), dunecouleur gris rosé pendant la vie, blanchâtre après la mort. Le corps est fine-ment strié en travers. Les deux sexes diffèrent : le mâle est long denviron15 à 20 centimètres; il est plus rare que la femelle, longue de 20 à 25, à30, et jusquà 48 ce


Traité de médecine et de thérapeutique . OGIE. — DÉVELOPPEMENT OU ÉVOLUTION. — LAs-caride lombricoïde, le Ver lombric des gens du monde, est connudepuis la plus haute antiquité. Cest rEXjjuvç hippocratique, leLumbricus teres ou L. longus et rotundus, des anciens médecinslatins. Il est cylindrique plus aminci en avant et moins en arrière (fig. 48), dunecouleur gris rosé pendant la vie, blanchâtre après la mort. Le corps est fine-ment strié en travers. Les deux sexes diffèrent : le mâle est long denviron15 à 20 centimètres; il est plus rare que la femelle, longue de 20 à 25, à30, et jusquà 48 centimètres. Chez le mâle (fig. 49) lextrémité postérieure estrecourbée en crochet arrondi et munie de deux spicules visibles à lorifice 746 A. LABOULBÈNE. — VERS INTESTINAUX. du cloaque terminal .tandis que chez la femelle (fig. 50), lanus seul est placé près de la terminaison du corps et lorifice vulvairese trouve dans un espace annulaire légèrementrétréci, situé en avant, au tiers antérieur et en.


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